EXTRAITS DU FORUM BLEU :           

 

 

Le libéralisme n'est pas une idéologie mais un savoir-faire. Acquis. L'ultra-néolibéralisme est une perversion, en fait.
(cf. l' exploitation de l' homme par l' homme <= désir compulsif, pulsion de gourmandise, instinct de domination etc.) (Fox)

 

" [...] un renforcement des conditions d’exploitation de l’homme par l’homme.
L’exploitation de l’Humanité par quelques hommes. Quelques vampires suprêmes nous transformant en vampires mineurs."
(Nebo)

"le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, le syndicalisme c'est le contraire !" Proverbe Chinois (cité par l'Guitouche)

 

 


 

Comme dit Daniel Mermet, il suffit parfois d'écouter des diatribes de la plupart des pro-oui pour se convaincre du bien-fondé du non :s (et reciproquement ajoute-t-il ...) #nervous#
Exemple :Simone Veil dans son auto-critique au sujet de Bruxelles : où elle pense que le oui (qu'elle soutient) souffre d'un déficit d'explications et de prises en compte des feedback à Bruxelles depuis longtemps. C'est justement ça qu'on veut éviter : même en expliquant bien, on n'a pas tjrs raison (et surtout on se doit peut être de se poser la question ...)

Il n'y aurait plus "d'opposition" sensible face à un membre d'une organisation verticale, qui chapeaute les lois transversales des Etats ("contraingnante") ... Pire : Il n'y a plus "d'opposition" possible face à un technocrate (et la dérive est à craindre : elle fait partie du domaine du possible).

 

°°ooo00O00ooo°°

 

 

A propos de cette Constitution : soit je n'y comprends pas grand chose (et alors je penche vers la négation : voter pour, ça serait comme de signer un contrat sans lire ce qui y est inscrit, or on m' a toujours déconseillé de le faire) soit je capte des points (comme avec les liens internet) et je comprends que ça ne convient guère à mes idéaux ...
(et à mes goûts plus terre à terre non plus, d'ailleurs)
.


La dichotomie entre ma compréhension et celle nécessaire pour ce pacte est effrayante.
Rien de grand ne peut se faire (ni même se concevoir) sans enthousiasme


  Le 14/05/2005 à 15h42
Pr Fox - (savant fou)

@ David Vincent : Et bien voilà : quand tu veux (être concis) tu l' peux ! ;) (remarques je me suis bien amusé de ta vision du petit patron ultra-humaniste ... 8) )
> "si on pouvait faire tant de spéculation avec ce fric qui dort quelque part, ça se saurait"

Sûr que ça se sait ! En tout cas du côté de ceux qui brassent bcp (les Etats par exemple, ou les "fonds de pension" bien établis pour le 3ème âge américain, qui font et défont le cours du cacao et du café entre autres) ) Je ne parle pas des "petits porteurs" qui perdent des plumes plus souvent qu' à leur tour, et qui n' auraient même pas les moyens d' acheter le côté de la rue où se trouve l' appart de leur rêve (le côté avec vue sur La Samaritaine ...)

La preuve c' est que quasi toute l' économie passe parc ette moulinette, dans le cyber-mixer de mes aïeux ... (même les grands restaux très étoilés sont cotés à la Bourse : le CAC 40 est affiché dans les WC s' il baisse on peut toujours dire "remettez nous ça patron !") #silly#

 

@ webSioux (mais Vincent est autorisé à lire ;) ) :
Aaaahh LE REVE ! > "dans notre organisation sociale et même dans notre facon d' envisager l' avenir ne s' obtiendra pas à force de le réclamer."

Bien d' accord (cf. si on demande un cadeau, ce n' est plus un cadeau mais une livraison ;-) ) Le rêêêve, il s' obtient avant (faut qd même savoir ce qu' on veut) ou après (c' est éreintant de demander, d' une manière générale : on dors bien après ... donc on rêve : c' est dans la nature !)
Dans une réunion, (t' as déjà remarqué ?) celui qui ne parle pas dans les premiers 3/4 d' h et qui est gavé d' écouter : il ne dira plus rien jusqu' à la clôture ! C' est tjrs com'  ça, systématiquement ! Pour le rêve c' est idem : si on manque d' imagination pour le caler, il va se faire la malle ...
Mais si la civilisation n' avait pas des rêveurs (des artistes, donc : comme dans la famille De Gaule, je demande l' auteur(s) ) on serait déjà bien plus dans la barbarie.
CQFD : la récupération n' est pas la création.

Le contraire du "coma émotionnel" :

La Grande Empathie est un concept pragmatique qui fait qu' on n' a même plus besoin d' amour et d' eau fraîche : il suffit de regarder l' autre se rassasier (!) (ou se faire blaquebouler par un tsunami) pour se sentir exister ...
(Si on a la confiance dans l' honnêteté de l' humanité bien sûr - deux mots chers à Lee-O qui, comme Delors, a déjà courtoisement prouvé son abhorration de l' approximation).

Commerce équitable. Dixit son fondateur : "Ce n' est pas la charité : c' est un commerce juste. Le reste est injuste : c' est de l' exploitation" de l' homme par l' homme : une perversion, en fait.
La synergie n' existe officiellement pas, en économie (sans quoi on parle plutôt de lobbying ou de dumping [du Jumpin'  Jack Flash aussi ! #knockedout# à l' inverse], ou encore de ce vice antidémocratique qui est le "délit d' initié" ...) Pourtant il n' y a que ça dans les rapports humains : de la synergie, voire de l' osmose !!
La règle d' or : 1+1 égale plus que 2 ! Il convient de parvenir à des émulations (!) synergétiques (!!).

Quand l' humain se sera affranchi du népotisme (lobbying des familles), du manichéisme (secte ayant repris du poil de la bête chez les hérétiques Cathares, et aujourd' hui systématisée ...) et du panurgisme, ça lui fera tout drôle de sortir et de voir que dehors c' est comme chez lui : en phase avec ce qu' il a rêvé cette nuit ! (parce qu' il vaut mieux se reposer 6 fois par semaine, que de tjrs reporter son rêve à la fin des utopies dans l' avenir ...)
... Et ne t' fais pas prier ! sors ton joker ! ;)


< mode rep aux vouistes over > |-| |-| |-|


 


 

Le 14/05/2005 à 16h35 fox @ webSioux -
C'est fou le nombre de personnes qui conçoivent l'existence comme une course à pieds (si c'est fou, ça n'est pas ce que j'appelle responsable). Un bonne part de l'humanité fonctionne sur d'autres préceptes :
(Zen : "ce qui compte dans l'ascension ce n'est pas le sommet mais le chemin pour y arriver ")


... Et c'est l'intention (prédéfinie) qui prévaut. De préférence ...

Le labeur c'est de cerner un objectif. Gratifiant. La récompense est dans le travail, la punition dans l'inertie. Le plaisir réside dans les préliminaires, déjà, et dans le regard en arrière, après.
Le but atteint, on change de cap ... sinon on perd ses facultés (de rêver).

L'automatisation est une illusion de prévision : le début n'y est lié que par la fin (qui ne justifie pas les moyens -démesurés). La liberté consiste à faire le 1er pas ...

 

Le 14/05/2005 à 17h52 webSioux @ fox -
T'as raison - mais perso j'ai au moins besoin de me payer un toit et de quoi remplir mon assiette 2 fois par jour. Tant que t'es pas rentier, c'est pas facile d'être zen à temp complet.

Le 14/05/2005 à 19h07 fox @ webSioux -
y'a qu'ici que peuvent se rencontrer des nomades et des sédentaires ... (mais dans tous les cas se remplir l'assiette, participe de cette nécessité assez jubilatoire qui ponctue "le chemin" ... Ce ne serait "un sommet" que si on donnait à fond dans le trivial ... Pas zen pour la ligne ...)
Anyway c'est plus facile d'être zen que rentier (et plus excitant sans doute) ...
Quand on convoite le sommet, c'est toujours avec un plan de retour (de "glisse"...)
Quand on se veut juché sur le toit de la maison, c'est qu'il y a des inondations (sinon c'est grave, par rapport à la raison ...)


Sédentaire, why not ? Il y a une grosse prise de risque à "être installé", ("assis") : celui de ne plus être "debout" !
(Ou en mouvement : le nomade n'est pas figé, il n'offre que peu de prise au vent chaud. Le sedentaire est plus volatile, sous les faiscaux croisés pas toujours ionisants... )
Dans un cas comme dans l'autre, à l'ère du dynamique il vaut mieux redouter le passage à vide, à l'âge du mouvant, c'est moisi si t'es statique : soit tu progresses, soit tu t'évapores.
Le "nanti" restera celui qui garde sous la main ce dont il a besoin ... Celui qui est dans son élément, pas à côté. Quoiqu'il en soit, il demeurera dans l'impermanence ... Du chemin de hallage jusqu'au crépuscule des lieux.
Lové entre l'espace et le temps.



 

Le 09/05/2005 à 15h25 foxy -
@ webSioux : Je signale que les "contestataires" sont des 2 côtés, les uns par rapport aux autres (surtout quand on voit la place qu'à le dialogue -hélas souvent affaire de personnes, en non d'idées- dans les médias ...)
(ça te ferait quoi si je te mettais dans le camp des "tout le temps d'accord d'ailleurs" ?)

Précisons aussi que 9 Etats membres seulement ont choisi la voie référendaire : attitude responsable, apparemment (et 16 la voie parlementaire : ça ne laisse pas vraiment l'occasion de dire non, ni oui non plus ...)

Et si on assistait à une nouvelle donnée dans le jeu politique (internet aidant, et le journalisme gagnant en maturité, donc en responsabilité) historique : la volonté (dans l'avenir) de prise en compte de l'opinion publique AVANT et non plus après coup [et malheureusement "par la force", obligatoirement : "passage en force" dans les démocraties rescapées (propagande à flot continu, ou en catimini, le soir d'un jour d'été) ou répression dans les pays totalitaires] ?
Il me semble que les juristes ont un devoir de pédagogie appliquée, et de transparence : ils ne sont pas une classe à part ... comme le seraient des "intouchables" en Indes, (malgré l'abolition officielle) mais "d'en haut" du panier ... (de crabes - je sais elle est facile, mais on peut encore rigoler non ? "on est encore en démocratie que je sache" com'dit Bruno Gassio ... )

@ Pioupiou : Perso je ne me vois pas proche d'un parti politique alors ça ne me simplifie pas la vie ... (Mais j'approuve Broutin (?! qui l'eut cru) - quand elle dit que le combat contre la misère n'est pas un vague "idéal" à atteindre (comme le disait Breton en face, bottant en touche dans la case sous-entendue "utopie") mais une nécessité présente et prioritaire pour tout(e) politique ... par exemple.

@ Louis : "autre débat : quand tu trouves que quelqu'un fait mal son boulot, est-ce qu'il vaut mieux le faire chier ou l'encourager, le jour où il te donne la parole ???"

L'encourager ss aucun doute. (Là c'est mon côté prof discipliné mais patient, qui veut des résultats, devant l'humilité avérée de l'élève studieux)
Faut toujours laisser sa chance à celui qui montre de la bonne volonté (et il y en a ... même chez les politiciens ou les journalistes ou les papes ou les gratteux etc)
Mais quand c'est l'inverse : que c'est le prof qui déconne, tout en donnant rarement la parole, car il a l'autorité avec lui ... là je ne me prononcerais pas (les résultats obtenus accuseront pour moi, objectivement constatables en fin d'année, incontestables).
Pas du bon boulot ? On peut aussi aller voir la concurrence si on est pressé ... Tandis que quand le plombier te dit : "c'est ça ou rien, et je suis le seul agréé" : ça craint, je trouve. ( * Vision fugitive de Robert de Niro, dans le Brazil de Terry Gilliam arrivant par la fenêtre au bout d'un filin pour réparer la chaudière !!!! )(film de 1984 : tout un symbole ! ce film valide l'année : Orwell aura eu raison au moins sur ce point ! L'Art c'est l'Art ! ("avant l'Art c'est pas l'Art, quand c'est plus l'Art etc..." )


 

Le 09/05/2005 à 18h40 Fox @ webSioux
> "sanctionner un travail par simple mecontentement"
à part que là le travail c'est justement qu'il y ait contentement général !

> " les coups de gueules des "jamais d'accord" sont tout à fait constructifs"
alors tu te rends compte quand c'est des remarques désobligeantes par les "des fois d'accord, mais des fois ça dépasse l'entendement" dis donc !


 

Le 10/05/2005 à 08h24 Fox @ Lionel -

"Plus les hommes sont intelligents, moins ils sont malins" - Sacha Guitry (dans "le nouveau testament")
;-)

Mais non, ce que je trouve bâclé c'est la *méthode* de rédaction choisie en amont, avec la précipitation dans son application, sans va et vient consultatif (incrémentations).
Je suis perplexe sur le choix des 200 "élus" (car pour certains, c'est une façon de parler...) et intrigué par le mystère autour des 2 ans de travaux (dans une confidentialité comme pour l'élection d'un pape... celui du libéralisme en quelque sorte ).
La non-neutralité d'un Giscard, (ministre des finances de droite qui a réussi), n'attire pas non plus vraiment mon adhésion. (Et il a fait l'impasse sur les mots "héritage judéo-chrétien" a-t-on appris à la dernière minute ... c'est symptomatique)
Bref, c'est sûr que l'on (tout le pb est dans le "on") ne peut consulter directement chacun "des 450 millions avec intervention directe de tous les citoyens".
(Quoique, si on voulait, les sondages pas seulement consultatifs, à l 'ère informatique ne sont pas difficiles à affiner (pas qu'avec "oui"/"non") et les synthèses facilement disponibles.)

Mais t'inquiètes pas, qu'en marketing, si on veut connaître " la tendance" on y arrive très bien ! Pas seulement pour un coeur de cible mais aussi pour ratisser le plus large possible (pour banaliser des automobiles polluantes ("100% autodégradable" par ex.) ... ou le tout nucléaire comme on peut le voir parfois).

Et là pourtant, cette constitution ne semble pas en phase avec la population globale (et pas seulement avec les "toujours mécontents"... loin de là). Elle n'est "ni faite" (somme de compromis au lieu de cadre simple) "ni à [re]faire" (ce n'est pas moi qui le dit mais les protagonistes du oui !)

Elle n'est pas (re)constituante d'une tendance généralisée ... avec un feedback populaire.

 

Je crois que la confiance ne pourra se regagner qu'avec plus de transparence d'abord, et de consultation ensuite. Pour toute discussion il ne faut pas rédiger la conclusion par avance ... mais synthétiser (feedback inclu). Notes bien : ce qui ne signifie pas couper la poire en 2, (ou en 25 ! ) mais établir des réactivités synergétiques si possible.

(Nécessité d'une "contraction de texte", quoi, comme on apprend au collège ...)


 

/2005 à 17h58 foxy -
Depuis au moins 1968, on sait bien que ce sont les partis (et parfois les syndicats) qui lissent l'action politique populaire, qui financent les main-streams (y compris pour les écologistes), qui la nivellent par le milieu ... qui lui retire son goût de fraises sauvages ... (dites "des bois") (comme Robin, - pas "l'ex" de Telef', mais celui d'Errol Flynn ! )

(encore aujourd'hui, ceux qui sont craint sle plus ce sont les étudiants, et les coordinations diverses, avec les collectifs de lutte)

[...]

Relativisons : Toutes les idées (les discours, pas les idéaux : qui sont aux abonnés absents) sont "extrémistes" aujourd'hui il me semble (puisqu'il n'y a plus d'idéologie viable). Mais en aucun cas les actes ... (quand il y en a ... je veux dire fondamentaux, légaux et tout, dans la pratique autre que conventionnée )


°o0O0o°

 

[*] Le F.N. n'est pas un parti ("extrémiste") mais un regroupement malhonnête (cf. profiter des rouages de la démocratie pour la pervertir en valorisant le fascisant) et une formation psychotique (cf. la phobie xeno).
Ockrent Christine l'ignore-t-elle qd elle nous convie à assister à une (fin de) soirée en présence de la droite (Copé) et de son extrême (Gollnisch) ? La gauche étant représentée par ... S.July (?) (qui ne parle que 5mn à la fin anyway) et par la promesse de l'intervention d'un fondateur d'Attac (qui n'est pas élu, mais un politologue, à ma connaissance...) et qui tarde à venir (en duplex ?)
Au bout de qq mn je me suis dit "mais pourquoi je me coucherais tard à écouter ces zozos ?"
Et c'est précisément ce que ce casting voulait montrer sans doute : le "non" serait antipathique, voire dangereux. Erreur : il m'a juste montré à quel point j'étais fatigué de la politique...
(Inviter à entendre De Gaule Jr, ça oui : cet auteur de best sellers aurait pu capter mon attention ).

L'inconnu est plus menaçant que l'illusion ne semble l'être.
Vivre à côté du réel c'est le fun, mais qd on choisi soi-même la partition ...


Le 12/05/2005 à 15h27 Pr Fox -
[...] "faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" (labélisé par le G_al de Gaule himself !),

@ Lionel & Denis :
Relativisons : la configuration prévue à ce jour, donne plus de poids à la France (entre autres pays fondateurs), mais moins d'influence par rapport à l' Allemagne, qu'avant.

Jusque là, le looser et le killer (NB: au réveil, ils ont chacun la tête dans le cul ...) étaient logés à la même enseigne.

A ce petit jeu du "je t'aime moi non plus", "je fusionne mais je retourne chez ma mère" ... on comprend que ça prenne du temps à rédiger, et que les "conventionnels" soient épuisés, si ce n'est trop écoeurés pour vouloir recommencer ...
[...] On oublie souvent que "la foi déplace les montagnes"
(et les caps du littoral, n'est-ce pas Goliath Vincent ? )
A part ça, David, j'ai pas bien l'esprit de compett' surtout dans les maths ... (c'est le meilleur moyen d'éviter la consternation, non ?).
Pour moi, le langage juridique inconsciemment c'est associé à conflit (de voisinage etc) Quitte à en inventer si y'en a pas ("faut bien bouffer" - "un avocat dès qu'il te dit bonjour t'en as déjà pour 100 euros !") ... alors ce jargon ça m'fait autant kiffer qu'un PV sur mon pare-brise ... Mais c'est pas le même feeling quand je lis la Déclaration des Droits de l'Homme ou le Manifeste du Surréalisme (le 1er, comme le second).


 

Le 13/05/2005 à 18h12 fox @ alocyn -
> " l'ex yougo, c'est un conflit éthnicoreligieux qui l'a fait éclater et cela était inévitable"
Tu es exactement aux antipodes de ce que je pense (voir plus bas)

>"faire évoluer cette idéologie économique vers une économie beaucoup plus libérale"

une économie (dans les chifffres)
+ une politique (dans les faits)
+ une idéologie (dans les mots)
+ une spiritualité (cf. le Tibet)
+ une moralité/civisme.
Ce sont des choses très différentes (le liberalisme n'est pas une idéologie : c'est un savoir-faire ... avec ses avantages (pour certains, par moment) et ses inconvéniants
(voir plus haut ... )


Le 13/05/2005 à 17h56 Fox - (liens France2.fr)
Rejet du recours des partisans du non (le rejet évite le gaspillage de tonnes de papier imprimé, mais le recours a eu l'avantage d'éclairer sur les coulisses de la campagne)

Danielle Mitterand (le site n'explique pas les raisons et préfère les histoires de famille, mais la video est visible avec les arguments - realplayer=qd ça marche)

Le "devoir de vérité" de Jacques Delors (partisan honnête du oui)

 

Le 14/05/2005 à 00h13 foxy @ guitouch' -

paradoxe : comment peut-on défendre le système basé sur consensus (initialement préconisé en politique dans les ateliers écologistes allemands durant les 70's) là en l'occurrence entre les "conventionnels"de tous bords, et entre les gouvernements des 25 ; et se contenter d'une déclaration officielle, encadrante pour un bail, et qui ne semble satisfaire que la moitié de la population ?


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