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pulsion de réclamation |
H A U T E R E S O L U T I O N
- 3D : la
pensée triphasée - |
« Up &
down
And in the end, it's only round & round
& round » (Pink
Floyd)
AVIS : |
|
Illustration manquante (photo désormais
impossible) :
L'appartement de Breton
André = "un
refuge contre tout le machinal du monde" (Julien
Gracq) * |
...
[
Si
parfois on croit que le "degré de lecture" importe
dans le pointu de la compréhension, que le second ou le
huitième degré seraient plus fins que le 1er degré,
c'est parce qu'étant plus rarement atteints, ils seraient
donc moins sinistrés par les "tour operators"
a priori (presque).
Le plus souvent on assimile la pensée spontanée
à un verre de sirop d'orgeat : plus c'est profond, plus
ça a de goût. (Plus c'est sirupeux aussi...) Mais
LA PENSEE NON-MANICHEENNE PEUT AUSSI ETRE SPONTANEE.
Bien sûr, elle doit être PROFITABLE dès le
1er abord, relayant immédiatement la perception, l'intuition
ou l'inspiration. Instantanément savoureuse, comme lorsque
le sirop a bien été mélangé à
l'aide de la touillette (souvent "fantaisie") fourni
avec. Question de réflexe.
Voir en clignant un il a l'inconvénient de supprimer
le relief. On ne peut pas toujours cligner de l'il mécaniquement...
On vise la cible quand elle passe de face (en plaçant le
viseur un peu devant pour anticiper l'allant) ou de profil (plus
c'est épais, plus c'est évident : moins de risque
de balle perdue). On s'appropriera ainsi le signifié sous
son meilleur angle, semble-t-il.
C'est aussi un choix de mode d'emploi : le manichéisme
s'est toujours interposé facilement dans le velléitaire,
alors le dichotomique s'impose en lieu et place de la formulation
3D harmonieuse ... Par contre, le binaire se joue mal quand le
tempo est déjà parti en 3 temps (3 mouvements
) !
Si l'on
caresse l'espoir que les strates de la pensée permettent
de prendre de l'altitude au fur et à mesure de l'essor
phosphoré, on se trompe bien souvent... La résurgence
cognitive mérite une captation au raz des pâquerettes,
comme une eau de source directement utilisable, et plus gorgée
d'oligo-éléments que l'eau du plus sophistiqué
de tous les robinets. (Même s'il est vrai que le château
d'eau est forcément situé au dessus de la zone irriguée
pour que le principe des vases communicants soit opérant).
Question d'instinct ! (Tout le reste n'est que spécialisation
mentale, forcément circonscrite, et limitée à
l'activité de chacun*).
Dans le
cas contraire, par avance, mes excuses.]
* A ce propos :
la musique ne pourra jamais aussi bien être appréciée
que quand on a un pied dans sa genèse, ou une oreille (c'est
mieux) "qui traîne" ! :
Les fulgurances de musicien, la quasi-télépathie
de certaines improvisations, les époustouflantes parties
de basse, ou les somptueuses nappes d'un arrangement dénudé
, ne sont que rarement saisies à l'enregistrement dans
toute leur amplitude, et retrouvées sur scène qu'accidentellement.
D'où tout le ridicule des qualifications de "meilleur",
"N°1", "champion" etc. en ce domaine,
comme dans celui de la recherche appliquée, (et
comme dans la pratique du judo ou de beaucoup de sports...)
------------------ MANICHEISME -> MATERIALISME -> MECANISME --------------------
LE DANGER DE L'USAGE
D'UNE "PENSEE" BINAIRE EST CELUI D'UNE CONDUITE EXCLUSIVEMENT
FRONTALE !
(sans vision "en coins", et sans rétroviseur
le plus souvent). Langage-machine non humanoïde.
("Y'a danger !...
pour les non-machines ! Les femmes et les androïdes d'abord
!")
Pratique manichéenne (c'est
là / ça n'est pas là _ dehors/dedans _ existant/non-existant
etc.) qui conduit immanquablement
au MATERIALISME
_(solide/pas
solide).
Lequel aboutit à
une vision MECANISTE du monde.
"Dans ce
pays, mon âme ne me sert à rien " (la chanson)
|
Une appréhension bornée à
l'événementiel (les causes/les effets, mais ni interférences
ni coïncidences), donc une philosophie de plombier (qu'ils
me pardonnent, ces artisans : j'admire leur compétence,
même si je crains leur nonchalance...), ou, pire, tout
ça débouche sur une mentalité de marchand
de tuyaux !
(On
a vu comment pouvait conduire à l'échec le recyclage
d'une Générale des Eaux Lyonnaise (?) en Vivendi
: gérer un patrimoine culturel a d'autres incidences
que de poser des péages sur les conduits !)
Le matérialisme exclusif a eu près de trois décennies
pour montrer toutes ses limites, pour simuler un chaos mondial
(à l'échelle 100/100), pour confondre la vénalité
et mettre la vanité à l'index ! Une pensée
qui n'est pas propice à l'action (concertée,
et flexible) est comme une U.C. sans système d'exploitation,
une bévue telle qu'un hamac sans attaches !
J'ai remarqué
que Johnny Haliday préférait dire "involontairement"
plutôt que "inconsciemment". Il a raison : ce
sont des mots synonymes de convictions plus ou moins assumées.
En jargon politique
avoir des "ressources" veut dire disposer
de richesses ENTERREES (minérales, métalliques
etc.) comme un tableau de maître dans un coffre-fort
(comble de la déviance : depuis Lascaux la monstration
rituelle s'est dénaturée !), ou cela suggère
de bénéficier d'une main d'oeuvre "bon marché"
(c-à-d sous-payée, pour parler trivialement). Et
"avoir des capacités" signifie, aujourd'hui,
posséder des armes ! Et non pas des livres !!
(ou des CD-rom...)
"Mettre au musée", sous-entend mettre au
rencard... et non pas exhiber (une "installation" artistique
digne de ce nom...) pas plus que créditer, divulguer. Faire
passer ...
C'est comme ça : le matérialisme a besoin de faire le
vide autour de lui pour se sentir exister. Il ne comprend que la différence
entre lui et lui... entre l'allié et l'ennemi,
à la rigueur (nuance perceptible : la neutralité
ne peut être que myopie, sans l'ombre d'un doute ! Il
serait impensable que l'on puisse préférer la plongée
sous-marine lors des joutes folkloriques sur barquettes !)
Certitudes volatiles ! (=opinions de dindes?)
D'où
cette volonté institutionnelle, repue de pathos, d'esquiver
les émergences culturelles depuis deux décennies,
tandis que la pub les entérinent plus vite que son ombre
... (mouvances rastafari, electronica, indélébiles
mais qualifiées en débiles...), d'où cette
redondance dans l'acharnement envers les racines de l'humanité,
et contre tous (cf. crainte de résurgence possible d'une
dialectique supérieure à la philosophie-de-la-calculette
?)... et de là le non-respect d'un quelconque plan anti-barbarie
esquissé dans l'intérêt publique (les médias
se gavant de la sauvagerie ambiante, si lucrative, pourquoi inciteraient-ils
à changer de mode de communication ?).
Ce qu'il faudrait envoyer dans l'espace, à bord du sondeur
spacial, pour mieux faire connaître notre planète
à d'éventuelles espèces intelligentes (extratmosphèriques),
pour rendre compte du degré de civilisation que
nous avons atteint, ce sont tous ces catalogues qui inondent
nos boîtes-aux-lettres (des pages et des pages de barbaque,
de récipients en plastique, de (sous-)vêtements
sur pieds etc. etc. Quel beau palmarès !)
|
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Dans
un même ordre d'idées, il est amusant de constater
que l'on parle "du voile à l'école" sans
aborder aucunement les méandres sous-jacents de la Spiritualité
(d'essence religieuse en l'occurrence), ni la fonction fondamentale
de l'Enseignement (comme facteur d'émancipation, de source
de savoir. Ce qu'il était pourtant, au départ).
La cristallisation se fait sur ce tissus, concret, palpable,
en un mot MATERIEL ; la fixette se cabre sur "POUR"
ou "CONTRE" ! Alors ? Dehors ou dedans, loi ou
pas loi ? |
Là
ou pas là
: c'est
le credo binaire par excellence ...
Mais c'est
normal : On ne peut pas demander à un kangourou de faire
le colibri ... (et inversement, nous signalent les intéressés).
L'impuissance patente des pouvoirs (c-à-d des "puissants
pouvant y faire quelque chose, censément")
a quelque chose de fascinant ... (Ni les instances musulmanes,
ni la hiérarchie des adeptes de la laïcité,
ni les certifiés pédagogues ainsi parasités
dans leur vocation, n'ont la clef semble-t-il à ce "problème
de société". De ce fait, on appelle la
police, com' d'hab !) |
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La privatisation
de La Poste est un autre bon exemple de la dérive divergente
entre idéal humaniste et comptes d'apothicaires : à
l'heure de la "nouvelle économie", où
l'on veut commander sur internet, un goulot d'inertie se profile
souvent dans la livraison.. Le prestataire privé cafouille
(un livreur n'a pas la connaissance de proximité d'un
facteur), souvent ne représente pas les colis en cas d'absence,
et les renvoie à l'expéditeur. (Ensuite, il est
injoignable, alors que des Postes sont là dans tous les
villages). D'ailleurs, l'avis de passage de "Coliposte"
(boîte privée) est systématiquement envoyé
dans la boîte aux lettres... par la Poste !!? (sous
enveloppe, même quand le client est chez lui : c'est à
lui de se magner d'aller chercher son colis... à la Poste).
Ah il est loin le temps de la Wells Fargo, quand on était
prêt à tuer son cheval, ou carrément à
se mettre en péril, en avion, de nuit, comme à
l'époque de St Exupéry, pour que les messages soient
(dé)livrées à leurs destinataires, au plus
vite ! Les correspondants maintenant sont privés
de ce service publique... Symbolique nihiliste, violence
institutionnelle crescendo ("les petits ruisseaux font les
Grandes Rivières"...), sous-entendu non plus épistolaire
mais téléphonique (les réclamations, nombreuses
mais si volatiles) : "allez tous vous faire..."
- Message reçu... (Vous de même ?)
Un jour
je vais parlé de Guillaume Depardieu, aussi. Casting virtuel
mais réjouissant, posture digitale mais équilibrée...
Surtout avec Jo Le Guen dans le rôle de l'Impérator
olympien... et non plus du galérien [...]
«... Et dans "santé", il y a santé.
» C'est incroyable comment on peut leur casser les
pieds aux rebelles...
... Mais
comment pourrait-on résumer des générations
de monarchie de Sa Graciée Majestueuse, et comment réduire
toutes les joies et tous les drames de ces marins de la Navy
(séparations, retrouvailles etc.) à cet objet fumant
posé sur le coin d'un cendrier, à ce paquet de
Royale (anis) dont il est issu, ou même à la cartouche
dont il provient, et qui est rangée dans le placard ?
Comment laisser tout ça partir en fumée ?
Il faut se rendre à l'évidence, si l'on se sent
vaincu : le matérialisme a ses limites cruelles. Ce n'est
pas tout.
Le paroxysme
du décalage entre virtualité matérialiste et réalité poètique, le summum de "l'à
côté de la plaque" c'est l'incitation à
la maternité (les sondages décisifs ont
oublié les hommes...) par de la menue monnaie offerte
(selon des barèmes technophiles auxquels nous sommes habitués,
tout en n'y comprenant toujours rien a priori, tant qu'on n'est
pas au pied du mur... Abstention d'intérêt toute
à l'honneur du couple : le calcul de la "rentabilité"
de la prochaine procréation du ménage présentant
une obscénité flagrante).
Comme si, le fait de mettre au monde, la responsabilité
(à long terme) d'accompagner le renouveau de la vie, pouvait
se résumer à des subventions (attribuées,
à l'euro près (!), en fonction des années
non chômées etc.) :-(
|
Alors il est temps d'écarter "les
illères", d'utiliser une perception moins rigoureusement
tranchée, même si pourvue d'un "2e degré"
parfois, (pratiquement : compensée d'une distanciation
de bon aloi), pour enfin s'enfourner, billes en tête, dans
la perception spiritualisée
des choses ! (= spiritualized
conciousness). C'est à dire avec une conscience irriguée
transversalement. En souplesse... Au plus près de soi.
Je
ne peux pas en dire plus. Là s'arrête l'usage des
mots : il faut comtempler le panorama, de ses yeux propres.
La "pensée triphasée" ça n'est
pas comme tenter de manger avec des baguettes quand on a l'habitude
de la fourchette, non, ça serait plutôt de découvrir
le goût de l'orange bien mûre, ou des diverses espèces
de bananes (une 20aine je crois) quand on a vécu
dans un pays où on ne les voit arriver que cueillies vertes,
immatures.
Le
ça, le moi (ego) & le surmoi (super-ego)
(from Freud, né à la fin de l'avant dernier siècle)
ont tous leurs tenants inconscients ... Les dire, c'est les trahir,
en tant que tels. Les 3 font la paire !
En plus de son rôle
de guide, (ou de loupe, au dessus du microcosme), la fonction
du matérialisme devrait se cantonner à celui de
fusible (on/off) dans l'explosion vitale, l'existentiel
sauvage, l'effort contre-inertique. Ne plus confondre le produit
et la force de production, l'exploit et la récompense.
Ne pas mettre les bufs à la place de la charrue...
(vendue à la casse pour une bouchée de pain...
vite avalée par les bufs, mais ruminée consciencieusement,
le Wall Street Tribune sous la main...)
NE PLUS CONFONDRE
LE MONDE ET LA VISION QUE L'ON EN A (hélas forcément
unique, toujours monophonique, égocentrée par la
force des choses). Ne plus nier davantage l'esprit de l'observateur.
Le spirituel DES expérimentateurs existe, et ne doit plus
être soustrait du protocole scientifique (depuis l'approche
raisonnée de la mécanique quantique, c'est une évidence
quali-fiable).
Pour simplifier : Finis les engrenages rigides, (les "petits
vélos dans la tête"), mais des champs
magnétiques fluctuants ! (qui sont eux-même
une simplification tridimentiennelle des arcanes spaciotempérés...
- voir le nez
au milieu de la fig.-)
Copier la vie, necessite d'abord d'être vivant. Une fois.
Au moins.
Et si l'univers
tangible était sinusoïdale ? "Pour voir..."
(comme on dit au poker)
Dans "intelligence artificielle" il y a "art-i-fi-ciel",
et on est loin de la pyrotechnie naturelle (présente jusque
dans notre intelligence standard. NB: Le "standard"
en la matière est obligatoire, préventivement à
l'autisme, sinon on parle de/en jargon, en borborygmes même...
Faute de pouvoir exprimer son unicité universelle, le ventre
criera famine).
Un tailleur de diamants
(issu de 3 générations d'artisans joailliers)
disait, à son tour : "pour ce métier il faut
patience et résignation. Dans le diamant il y a le don
de sa personne". Face aux aléas de la taille du minéral
cassant, dans le prisme d'une occupation qui dépasse l'entendement,
vouée à un pari aléatoire et réfractaire,
on distinguera le sacrifice (volontaire par définition)
de l'ouvrier, à l'abandon usuel de l'actionnaire (qui
fait don de sa personne à son corps défendant, dans
un opportunisme aveugle, et sans créativité).
Conduite frontale & cheminement
circonstancié :
La même différence qu'entre un renard empaillé,
et l'animal débusqué (qui "sort du bois")
!
On le verra !
12C4 ... (Car
à force de chercher... on finit par croire qu'on ne l'a
pas trouvé)./
" On ne vit pas de ce que
l'on mange, mais de ce que l'on digère. " [cf.
Alexandre Dumas] |
|
" Un intellectuel c'est quelqu'un
qui est capable de penser contre soi-même, c'est quelqu'un
qui est capable de se cassser les os de la tête !"
[cf. J.P. Sartre] |
|
| la
pulsion de réclamation | |
Une bombe dans la
tête : " Illumination " |
Lutter contre
"le sentiment d'insécurité", n'est pas
obligatoirement oeuvrer pour la sécurité !
(En finir avec l'anxiogène ratisse plus large que le
code de la route...)
Dénoncer
la beaufitude, c'est également se tromper de cible :
La faute en revient aux systèmes qui pratiquent la rétention
d'information, à la mal-formation des foules, et
non pas aux protagonistes ou aux consommateurs, de la "culture
de masse" !
Fonction
Phatique :
Fonction du langage lorsqau'il est utilisé uniquement pour
établir une communication sans apport d'information.
cf. "dimension
phatique de la carte postale ou de la télévision"
Pour conclure j'ajouterais que la pensée
triphasée n'est pas une recherche du compromis vaille
que vaille.
No stand-by allowed. Pas de camping sur la frontière...
Il ne s'agit pas, quand deux valeurs s'opposent, de les mélanger
(par exemple, les couleurs complémentaires se marient
très mal : c'est brunâtre, ça donne du "caca
d'oie" dans le meilleur des cas).
La tendance n'est pas, quand une dynamique tire vers le Haut en
même temps qu'une autre qui tire vers le Bas, de tirer vers
le Milieu (on tire beaucoup dans le Milieu...)
Pas de tendre vers l'immobilité (sclérose rassurante
pour les synapses, mais condamnée d'avance, au mouvement
: Quand on n'avance pas, on recule). Pas question de sidération
ou de timidité fascinée. En cas de presbytie mentale,
d'incompréhension astigmate avouée, il suffit (c'est
éprouvé) de renverser le plan vertical (= abscisses
intuitives) en hamac horizontal, (tout en gardant l'axe des ordonnés
dans un coin, au cas où... ça peut servir.)
On pourra faire abstraction (momentanément) de la dialectique
temporelle (4ème dimension), de l'introspection minérale
(élément 5), et de la synergie culturelle (du 6ème
continent), comme du 7ème ciel (je ne parle pas de censure...
mais de tact).
Un tabouret n'a besoin que de trois pieds pour vous équilibrer.
Le pré-salé à cinq pattes ne courre pas les
rues.
Bref, en cas d'emballement
stroboscopique (on/off rapide), de mirage hypnotique (blanc/noir
intercalés) il convient de RAJOUTER (facile : inutile de
multiplier, temporisons, et laissons les autres diviser).
Finalement
rétablir celui des 3 fondamentaux qui manque au signal
composite :
la chrominance (transcodage des
bitmaps), la
luminance
(le contraste), ou la synchro(nisation). En Secam (Fr), comme
en NTSC (USA), (et même si c'est le PAL qui se standardise,
au final...)
Et alors tout (re)devient transmissible, recevable ! Sinon l'image
est floue, sans brillance ou sans tons, mais dès qu'on
revient au triphasé c'est comme sortir de la grisaille
et percevoir "la
vie en rose", ou
en blues
mélodique, après
une panne d'appréhension !
("On se comprend"... comme dit l'autre).
Si tant est qu'il y ait quelque chose à
comprendre, le formalisme 3D est plus explicite. Mais, curieusement,
plus la représentation est fidèle et aboutie, moins
la necessité de com/prendre est pressante, le régime
approbatoire semblant presque superflu. "Medium is the message"
(comme prévenait Mac Luhan). Ainsi la laborieuse expérience
cartésienne (cf. Descartes : ... allez, je balance
!), devient suspecte (méthode Coué ou somnanbulisme
?).
La fameuse quête de sens (uniques ?), toute mitée, s'amenuise devant la
transcendence immédiate. (Sub Trans = Sublime
Transport, pour les initiés). De plus en plus en plus
belle. Versatile. Récurrente (quel vilain mot !) Familière...
(un
mot de trop ?) La
compassion... la sympathie... au delà des mots... Qui
d'ailleurs veulent tous dire la même chose : "EMPATHIE correcte exigée
! S.V.P.
? ... allez... sans déconner !"
Comme un
lémurien dans un pré carré, le troublion
débinarisé, ni orgeuilleux, ni jaloux de sa bêtise,
semble sauter de joie pour se déplacer latéralement
(tout le temps, systématiquement).
C'est un
luxe, que ce signifié "réaliste", et
cela s'apprécie comme tel, en dehors des jours maigres...
Au carrefour des désillusions, le surlignage sait se rendre
utile. Comme un trempoline. Mais l'eureka est instantané
ou n'est pas. (Tous ceux qui vous diront le contraire préfèrent
les photomatons au tableaux de Turner. Vérifiez... vous verrez). Image de l'instantané,
même pas abstrait : immédiat. Tel quel. |
|
1/ Attaque (percussive ou veloutée),
2/
amplitude (le timbre faisant foi) [= sustain],
3/ puis déclin [= decay] en
queue de comète
...
Comme pour les civilisations,
il y a des hauts et des bas.
Mais le demi-mot coiffe toujours au poteau le sentencieux. (D'un poêle
!)
La Création
"n'a pas demandé à vivre". D'ailleurs
c'est mal-poli (de le faire).
Pr
Fox - avril
2003
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- la
pulsion de réclamation -
Il y a parfois
un abîme insondable entre posséder, et désirer
(ou manquer
de) : la vacance (l'irrésolu fleuri,
ou la villégiature pondérée).
Le
fait de penser que l'on est responsable de ce qui nous arrive
est une attitude sage, dé-stressante (on s'évite
certains sentiments rongeurs, des pensées parasites, comme
dans le fulminage vain, l'esprit de vengeance, ou l'auto-apitoiement
etc.) Mais ce n'est pas le réflexe premier. Loin de
là. Parfois c'est même impensable, ou parait tellement
frustrant. (Cf.
le fameux 11/09, jamais les new-yorkais n'ont pensé y être
pour quelque chose ! Et pourtant... ces américains devraient
peut être de tps en tps se poser des questions... ET y répondre...
sans trop se fier à la C.I.A). Les interférences ne s'effacent
pas à coups d'interférences...
Sans egocentrage forcené, il faut savoir se regarder le
nombril, parfois, finalement. Mais sans tomber dedans (si l'on
peut dire), sans régresser.
Ne pas "tomber
dans le panneau" : l'ego n'est pas un sémaphore. Une
locomotive n'a jamais fait un train... (tout juste une navette,
même pas un tortillard ...)
Le
premier trait d'esprit qui vient est presque toujours une flèche
que l'on décocherait avec un rien de méchanceté.
C'est curieux. C'est la seconde suivante que la plaisanterie goûteuse
se profile, plus avantageuse.
De fait, un temps de latence est utile, un break-instant pour
gratter sous la pulsion de réclamation, on a droit
au "deuxième grattage", jusqu'à la réaction
N°2 (qui était masquée par le feeling à
vif) et qui généralement est plus fondable. Avec
le filigrane et tout. On parle alors de destinée, tout
ça, car TOUT est chevillé. Interactif.
Le Petit Rien avec le Grand Tout.
Mais si on réagit trop à chaud on est cuit.
(J'exagère un peu : on peut passer au micro-onde, vite
fait, son indifférence. Parce que si on se fout de tout
ce qui (nous) arrive, on a l'expérience de rien). On aura
toujours le temps de corriger le tir, ce qui compte c'est de dégainer
le premier, avant d'être iophylisé. Sec comme une
huître. (traitée après la "marée
noire", cauchemard hebdomadaire). Eviter d'être
infiltré par ce qui peut rendre l'empathie douloureuse,
rapidement ratatinée : c'est-à-dire un certain type
de pensée "téléphonée".
Rebondir est un mot ludique et salvateur, bondir est un mot dique
et vateur, dir
est mot que teur, r t ot e ur...
Le
fait de penser que l'on est responsable de ce qui nous arrive
est une attitude saine. Nous sommes individuellement responsable,
générateur du cooool, comme du pseudo-hip hop qui
nous arrive (aux oreilles : le genre de musak où les
coups dans le mur du voisin sont préenregistrés
en rythmique)... Oui ça fait partie des notions de
savoir-vivre zen (cf. karma etc.) D'ailleurs si on n'aime pas
la daube, on n'avait qu'à faire la cuisine soi-même
sans doute ... ou ne pas laisser traîner son oreille à
tous les carrefours...
Même
mes gènes (qui font parties de moi, alors que le code de
base complet {j'ai nommé le "génome"}
il tient maintenant dans un attache-case officiel, sur une dizaine
de CD), ces acides aminés, ils y sont aussi pour quelque
chose, à ce qu'on dit... (ex: "c'est dans mes gènes...
c'est plus fort que moi"). Il y a un déterminisme (mon vécu)
qui s'incruste jusqu'en dessous des ongles. Et encore un pré-determinisme
qui vient d'avant la naissance...
(Genèse qui d'ailleurs est fausse la plupart du temps :
c'est juste une image parlante, un "mythe fondateur"
moderne.
Par exemple, les gènes ne permettent pas que l'on se fabrique
des mains de guitariste : ils font en sorte que l'on ne se fabrique
pas des doigts entre les doigts : le gène supprime la multiplication
des cellules par auto-éteignage. Sinon on aurait des doigts
palmés, dans le meilleur des cas. Ce qui, en plus d'être
gênant pour jouer de l'instrument, serait contraire au programme
basique inscrit, compilé Nul sait comment... Ou ils la
favorise au contraire, mais c'est tout. Fin de l'exemple tarabiscoté.)
Le
fait de penser que l'on est responsable de ce qui nous arrive
est une attitude héroïque, je dirais.
Pr Fox
|
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pour "la
déçue" :
c'était forcé que tu ne percutes pas : avec un
a priori décalé tu abordais cette plate-forme de
brain storming ! En effet ce n'est pas un RV de "gens intelligents"
qui ouvrent les solutions de l'avenir, mais un recoin d'intelligence
collective qui ne se la joue pas. Croire qu'il y a des individus
très "intelligents" - à vie -, moyennement
"intelligents" - tout le temps - et puis carrément
pas "intelligents" du tout - de naissance -, c'est
un leurre, une propagande compétitioniste. IL y a des
cons très... "intelligents", et des abrutis
franchement épatants ! La notion de Q.I. a été
inventée dans l'armée en guerre (pour faire vite
en choisissant la chair à canon), par des psys speedés
qui comptaient garder ça pour eux... (raté !)
[C'est l'auteur de "l'Apologie de la Crétinerie"
(épuisé) qui te le dit ;-)] plus sérieusement
Alexandre Jollien a écrit "Eloge de la Faiblesse"
: il a un Q.I de moins de 100 et a reçu le prix de l'Académie
Française (il est aussi handicapé moteur : il n'avait
pas le temps de cocher dans les cases au moment "des tests"!)
La réification (selon Sartre) consiste à
reduire l'autre au rang de chose. Elle réduit l'autre
à un attribut, ne voit en lui qu'une qualité ou
un défaut, elle le pétrifie en bloquant toute évolution.
Pour ce qui est
de la politique, la grande question c'est comment transcender
les frontières socialement aussi bien que le fait l'économie
! La taxe Tobin ne passera que "quand tout le monde l'adoptera,
sans exception" (sans paradis financier planqué sur
le globe), c'est ce que disent tout ceux qui se regardent en
chien de faïence, sans y croire une seconde. Attendre...
("Je suis tout seul, chez moi ..." etc.)
Une fois le système au point (cyber_assisté
et carrément en démocratie directe) il pourra y
avoir d'autres taxes pour la retraite (la famine étant
résorbée comme prévu par Tobin).
Le mystère, c'est comment on boot ! ? Avec quel Operating
System ? |
* La
collection de André Breton : Dommage que
toutes ces "correspondances" établies
UNE VIE DURANT, entre objets et artefacts, dans ces écrits
comme dans ces représentations graphiques, aient été
pillés par les novices, démantelés par le
fisc, et vendus aux enchères aux 4 coins (plus "space",
tu meurs !) du monde surréaliste-sans-le-savoir...
... SANS LES SAVOIRS ...
(NB : Si Breton était
le "pape du surréalisme", la définition
"pratiquant-sans-le-savoir" pourrait se traduire
par athée, ou mécréants ... Croire que
"Dieu n'existe pas" étant finalement une
foi aussi répandue que les autres... Mais le propre de
la psychose, c'est justement de ne pas être identifiable
par le patient, contrairement à la névrose qui se
soigne mieux, en cas de bonne volonté avérée).
§ Et si l'humanité avait un grain ? Qui pourrait
la soigner ?
§ Et si l'humanité
avait un grain ? Qui pourrait la soigner ?
Quand l'homme soigne,
c'est toujours la Nature qui se soigne (elle même)... quelque
part.
... à
suivre
(de près)