{upload} : " Est-ce que l'info arrive bien chez vous ?! "
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Théorème / mode d'emploi :
La juxtaposition verticale de charges indignes force tout le système à une érosion anticipée de la mémoire ...
(" Elle n'a plus goût à rien...")
Réciproquement : Quand la mémoire s'érode again, il est souhaitable de laisser le système inactif quelque temps : de ne pas l'encombrer de taches inutiles et de tâches superflues. (" Il aura toujours du goût ")

  ferveur = " le message en soi " 

 MAI 2004

MEDIA-CHECK 1

 D E G R A D

 

u n   m a n i f e s t e   d u

 

 

 

 

 

 

 

001010 1  0

 

DEGRADé

(Estimation de dégradation ou

dégradation de l'estimation ?)

 

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Un cauchemar technocraté ou une utopie fleurie ? Le jour où, après l'(ex)termination du prolétariat, puis la résorption des employés, la société se trouvera en rupture de stocks de consommateurs !
Juste retour des choses : à force de créer artificiellement la caducité du matériel (en fabriquant cheap, ou en refusant tout bonnement de fournir les pièces de maintenance, passé un délai fixé arbitrairement, sans scrupule, sans cet amour du travail bien-fait des anciens techniciens), à force de ne plus composer avec le pérenne, ce qui devait arriver arrivera : l'ex-consommateur ne sera plus q'u'un abonné, doublé d'un contribuable. (Les fonctionnaires étant disqualifiés pour le Comité d'Entreprise Mondial par une consommation dite "de fonction" mise à leur disposition ... gracieusement, si l'on peut dire.)
Et le citoyen deviendra enfin cette entité abstraite que les succubes du silicium espéraient (esperar = attendre) ! Un badaud ("avec un numéro, rassurez-vous") !

Ce qui a fait avancé l'humanité ces derniers siècles, c'est le progrès lié à l'invention essentiellement technologique. CE N'EST PLUS LE CAS ! (La technologie, quand elle n'est pas dévoyée afin de brader tout ce qui pourrait lui passer par la main, sous forme de produits "marchandisés", est purement et simplement bridée. Baillonée par l'achât des brevets et la spéculation qui s'en suit. L'avenir de notre passé dort dans des cartons, dans de discrets coffres.) La mémoire est érodée à la meule, et le potentiel saccagé par des vandales (ex. les plantes en Amazonie, ça devient même lassant de le rappeler). A ce jour ....

 

... CE QU'EST LE MESSAGE "EN SOI" ?

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BORIS VIAN (auteur de la chanson "Le Déserteur")

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TAO MOVE

 

 

| ANNEXES : débat |

 ================================= Rossy de Palma (actrice célèbre, dans la Movida) affirme qu'à la simple idée de prononcer le mot "antisémite" elle se contracte, ça ne lui vient pas... De fait, force est de constater qu'une banalisation d'un concept nauséabond (qui provoque donc la nausée, normalement) est peut être plus insidieuse et, par là, plus grave, que le propos en lui-même, ou que tout acte qui lui serait rattaché. En tous cas, la réaction devrait être plus grave, littéralement plus solennelle. Formellement ; plus réfléchie.
En quelque sorte : plus approfondie (si ça se trouve) ... ?
Moins immédiate, mois superficielle, la gestion de donnée gagnera une plus-value qui sera plus roborative qu'un simple culte sans croyance (le culte de "l'objectivité", de la "transparence" bénéficiant d'un crédit infini... et d'un budget colossal) .
Car la manipulation des outils médiatiques se doit d'être pesée. Agir sciemment devrait être la règle, en démocratie. Les sémiologues, qui en savent plus sur la question que les publicistes ou que les journalistes (deux corporations qui squattent le PAM) peuvent non seulement nous éclairer, mais nous prémunir de tout black-out. Nul déphasage, fi des erreurs d'azimutage. Ne plus prendre la détestation pour de la haine. Ne pas répondre à l'indifférence (parfois goguenarde), par du mépris (anesthésiant) ...
Se la jouer martyr médiatique, ou même redresseur de tort (cf. "intellectuel patenté") est sempiternellement corrosif pour la psyché (la morbidité est toujours auto-avilissante, comme l'orgueil).
Rossy a raison.

Et ça tombe bien : il faut raison garder. Car toute occupation de l'espace collectif a des incidences (bonnes ou mauvaises) forcément collectives. Une lucarne occupée par l'ombre chinoise d'un thème l'est au détriment d'un autre, inévitablement (sinon ce serait la cacophonie : on ne peut pas entendre toute la bande FM simultanément). Les citoyens électeurs, dans la république "mediatico-parlementaire" (comme dit Mehdi Belhaj Kacem) sont un peu trop considérés comme du bétail en transhumance latérale (gauche/droite. Les sondages et les statistiques servant effectivement de chiens de berger ...) Mensonge partagé, pour masquer l'absence de foi. Un "coupe-faim" existentiel ...
De la même façon, les religions et les politiques ont un peu trop tendance à considérer l'individu comme une abstraction (un consommateur, un adepte etc...) sans tenir compte de ses hauts et de ses bas, des ses ratages comme de ses percées. N'importe qui, considéré usuellement comme une flèche, peut avoir des ratées (si on mettait toujours dans le 1000, le plaisir serait moins jubilatoire ;-) ...) Alors "point n'est besoin de tant classifier" comme dit le proverbe cyborg.


Parce ce que non, c'est complexe un humain, et ça garde une surface sensible, vierge oserais-je dire (impressionnable, pour le moins : comme du papier photo, DISPONIBLE comme un CD pas entièrement gravé, ou un DD non encore formaté). Même un arbre sait ça ... Le lilas de la cour de récréation lit en nous comme dans un livre, il décrypte dans nos pensées ... Il perçoit ce que cherche à entrevoir le moine bouddhiste. Il sait, en voyant approcher la lolita avec son canif, que l'angélisme peut se transformer en Mal, et, à l'automne, il devine ce que veut dire l'adage "à toute chose malheur est bon" ... Un pied de jasmin c'est vivant : il s'ouvre en fin d'après midi, et dort pendant la nuit ... Ce n'est pas une représentation froide, un poster figé. PÉNIBLE.
CANDEUR SOUHAITEE
C'est pourquoi je serais tenté de mettre dans le même panier, chroniques judiciaires pédophiliques, propos (anti)racistes, démonstrations terroristes etc. Toute cette folie (plus ou moins) douce qui abreuve les médias.
Parce que, revenons aux choses sérieuses, j'aimerais bien connaître le montant, aujourd'hui, des transactions sur les clichés de tortures dans les prisons irakiennes (reproduction presse + diffusion TV) ! ? Connaissant le pactole que ça peut rapporter, pourquoi ne pas imaginer une petite mise en scène, bien british si on peut dire, 100% bidon mais follement médiatique ...
Finalement, quelles sont les seules images qui circulent sur le royaume sumérien ? Celles de G.I mâchant nerveusement du chewin gum face à des passants irakiens un rien hagards ... Et pas du tout le reflet du berceau de la culture, les tablettes écrites (collectors ! c'est la première fois que l'écriture fut inventée, comme chacun sait, maintenant). Je trouve ça un peu réducteur. (... Pas qu'un peu : quand j'entend le président Bush Jr demander une expertise "exhaustive" des sévices anglo-étasuniens (comme dirait Godard) sur la personne humaine, je me dis "de qui se moque-t-on ? - Un c'est déjà trop ! -" Point \ barre)
C'est nous qui trinquons dans cette pseudo-jihad rétroactive à l'occidentale. Nous sommes les victimes de ce kidnapping de l'attention.
Alors je présume peut être de mes forces, mais suis majeur et vacciné. Échaudé craignant l'eau glacée, je résume mon combat :

Gardons l'usufruit de l'innocence. Coûte que coûte.
Discernons ce que nous désirons tenir pour sacré. Une fois pour toute
.

Pendant longtemps chez les Jivaros (qui, ultime mise au point, ne sont pas des Jivaros, contrairement à ce qu'avaient arbitrairement décidé les espagnols, mais le peuple Chuar dans leur propre langage), dans cette peuplade atypique, on a cru, de génération en génération, que les européens étaient des cannibales ! Il y a peu encore, on craignait dans la jungle, en rencontrant un gringo (un homme blanc), qu'il nous suce le sang.
C'est-à-dire à peu près la même chose que ce qui se racontait sur l'autre rive de l'océan, dans une autre civilisation où l'on redoutait les "chasseurs de têtes" !
(D'où la hantise, provoquée sciemment pour tenir à l'écart, des étrangers lointains de finir en porte-clefs tsantsa ... ou en zombie londonien).

bCoïncidence : Notons que cette crainte a son fondement avéré dans la menace de dépossession de la culture ancestrale. (Le parasitage constituant par ailleurs la captation symbolique de l'âme par les appareils de prise de son ou d'image ... ou autrement par le passage forcé, de son propre chef-trophée, dans une marmite réductrice !)
La menace est réelle : Les talibans ont bien détruit les bouddhas géants de pierre, et les américains ont bien livré aux pillards (à Bagdad) des vestiges fondateurs de l'humanité.
C'est aussi un NON RESPECT DE LA PERSONNE HUMAINE que de lui brouiller ses référents, que de spolier son héritage. La pollution fait toujours son effet, pervers, à retardement. "Le deuxième déclic" : choc traumatique rétrospectif qui incite parfois à la récidive (passive ou active) même pas masochiste : par simple incrémentation inquisiteuse. L'imaginaire collectif se nourrit des inconscients individuels. Et réciproquement. Nul besoin de se voiler la face : mieux vaut regarder ailleurs.

"Se nourrir de l'Autre" : définition possible du cannibalisme ou du vampirisme</b>.
Les "Jivaros", s'ils ont gardé le secret de fabrication des "amulettes" à partir d'une tête humaine, réduite comme par magie, ne savent plus le pourquoi du rituel. C'est sans doute pour ça qu'ils ne le pratiquent plus : le Chuar ne sait pas agir sans raison, quant à lui. (Dissolution de la motivation, plutôt que parce qu'on lui aurait dit un beau jour "il ne faut pas faire ça !"... Tout en spéculant avec des "pièces" de musées d'origine Jivaros. Le Chuar préfère s'abstraire de toute spéculation : il n'en voit pas l'usage).
L'autre cause étant aussi parce que peuple ne croirait plus que les âmes soient en stock limité dans l'univers : une réduction de tête, dûment bâillonnée, permettant, semblait-il, la réincarnation d'un nouveau-né ... (Motivation noble, bien éloignée du commerce de contrefaçons, qu'ils n'ignorent pas mais qu'ils abhorrent, ou de l'image de sauvages belliqueux qu'on colportait, quand on ne déplaçait pas les autochtones eux-même : moyennant rétribution les africains ou les asiatiques pouvaient alors faire les "méchants, à cheval sur les 19 et 20e siècles, dans un zoo humain itinérant. Cf. le World Wide West etc.)

"Si on n'a pas fait d'analyse, on ne sait pas que ce que l'on n'aime pas chez l'Autre, c'est soi." (Jean-Luc Godard)

"Moi c'est moi, toi c'est toi !" (le tout-venant)

Comprendre c'est faire soi de l'Autre. Et ça demande des nerfs solides ! (Au point de tendre la joue gauche quand on te frappe la droite ? Ne pas se tromper de côté : ça peut faire plus mal encore...) Je suis mon propre champ de bataille. Good karma, as soon as possible.

Tout ça pour dire qu'il faut de méfier des infos qui nous parviennent, d'où qu'elles viennent ! ... La com-préhension du chaos extérieur, du fatras qui enveloppe toute vie spirituelle (c'est-à-dire non-phénoménologique), ça se travaille, ça se rumine, ça se sublimise, ça s'extrapole.
(D'ailleurs, les Chuars préparent des documentaires vidéos sur ce phénomène passionnant de "l'étude" des blancs à leur égard... Le principe de l'arroseur arrosé quoi ! La tribu a choisi certains enfants pour s'approcher de ces individus étranges, l'un d'entre eux vient d'avoir son diplôme de doctorat, ça aidera. Car plus généralement "les primitifs" préféraient envoyer les enfants de leur forgeron ou même de leurs prisonniers, à l'école des blancs, pour ne pas priver leur progéniture du savoir et du mode de vie ancestral en forêt ...)


Enfin, montrer un empilement de corps indéterminés, récurrent spectacle post-rwandais, ou évoquer avec redondance le viol proxénète et incestueux sur un mineur, c'est assez irresponsable... C'est assez irresponsable pour être coupable (et, promis juré, on ne m'y reprendra plus !) Éclipse. Le comble du comble devient pain béni dans la surenchère mercantile. Raptus automatisé.
Pourtant, le corps humain est bien plus sacré que les commentateurs ne semblent le penser. Et je pèse mes mots.
Respectons suffisamment nos sentiments pour ne pas les réduire en miettes d'émotions. Sachons apprécier cette grande Aspiration, légitime. Jouons plutôt avec la matière vivante comme une appropriation possible du Sacré. Raffinements jouissifs et délétères. Avec ce sain frisson, ce doux frémissement, cette bandaison-offrande, et/ou ce décollage subliminal, comme cette chaude sensation, proche du sanglot, trop vite relativisée... Toute cette prophylactique harmonie que quiconque recherche dans son quotidien avec plus ou moins de bonheur ! Malgré les interférences. Soyons avertis : La vulgarité fait le lit du profanatoire.

Vigilance de plus en plus facile, petit à petit, sans sentimentalisme ni fausse indignation. Sans "curiosité" pavlovienne. Honneur aux vaincus. Noblesse d'âme oblige. "Honni soit qui mal y pense" : le terrorisme privé de représentativité.
Salivons un peu, par avance (sans cette concupiscence obligatoire, fatalement )... Rêvons, les yeux fermés, pour une fois. Sans la télé (miroir grossier de notre grossièreté), ni les journaux persifleurs. La Paix dans les chaumières. Le téléspectateur : affranchi !

Quand je pense déjà aux difficultés contrariantes que peuvent m'apporter dans l'accomplissement de ma quête hédoniste, une simple gingivite, ou, pire, un panaris ! J'ai du mal à envisager la télévision sans appréhension. J'ai du mal.

 

 « Les mots mènent aux actes.(...) Ils préparent l’âme, la mettent en condition, la poussent à la tendresse... ».

Sainte Thérèse d’Avila (mise en exergue par Abd al Malik).

 

 QU'A CELA NE TIENNE

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 A propos : nul besoin d'avoir "fauté" pour motiver une pseudo-attitude de repentir, bonne et généreuse. On peut être né comme ça ... Pas de mérite, pas besoin d'excuse, mais une aspiration instinctive ... à l'ouverture (avec des sas, pour les as). On nait comme ça, au moins quelques secondes.
" Tout comme au début, tout nu, seul "...

Songez à l'économie sur 10, 20, 30 ans ! D'avoir zappé tous ce qui a trait aux "jeux" de hasard vénaux, à la violence et au morbide, exclus volontairement de ses charges à penser ! ... ça rend aimable (comme les carottes), et de plus en plus aimant (égoïstement) de son confort mental.

Par exemple, moi à six mois je suis devenu "pied noir" ... Le sens sacré de l'hospitalité est une évidence dans beaucoup de civilisations ... Teinté de ce fameux charisme méditerranéen, le déracinage est moins cruel.

pendant ce temps ...

 

| ANNEXES :débat |

vandalisme
de la psyché
=> implique
ZAPPING
reconcerté

 Il y a deux choses que je ne m'autorise plus à regarder dans les médias : le trop glauque et le très clinquant.
Je zappe SYSTÉMATIQUEMENT le morbide et la vanité.

La vue du gâchis, quel qu'il soit, me fait grincer les dents, alors pour ne pas me retrouver avec un imaginaire mité, pour ne pas me pourrir le sens facultatif, je me dispense habilement des actualités préfabriquées et je m'évite le supplice des résultats des Lotos et autres arrogantes déperditions d'énergie. Parce que, par dessus tout, ce dont j'ai horreur, c'est d'avoir le sentiment que ma conscience est prise en otage, pour des intérêts qui ne me toucheront jamais, de près ou de loin !
Je l'avoue : j'ai une opinion assez haute de la valeur de mon attention ! (Hé oui, presque aussi élevée que le coût des clichés plus ou moins fabriqués dans des sous-sols sordides, ou que le montant du super-tirage offert à la beaufitude, handicapée de l'empathie !) Maintenant, si je déroge à ce principe que je me suis imposé dans les années 80, j'ai l'impression d'être complice. Une grande culpabilité, et un bad feeling d'impuissance. Et comme je ne suis pas maso : ZAPPING ! (Ce qui ne signifie pas que je me voile la face, bien au contraire : non seulement je suis parfaitement au courant des atteintes au respect de la personne humaine (le contraire serait difficile ! j'aurais du mal... à satiété !) mais je suis en totale osmose avec des champs de conscience beaucoup plus variés et nettement plus réjouissants ...)

Car le pire ce n'est pas ce qu'on nous montre mais ce que celui qui capte imagine ! L'inconscient collectif est salement pollué par tant d'inconséquence (y'a qu'à voir le topo du "si je gagnais au loto" ... pas de quoi se relever la nuit !) "La vulgarité est dans le regard de celui qui regarde, pas dans le tableau" disait je ne sais plus qui ... La grossièreté atteint le témoin : sujet-badaud, devrais-je dire. Les citoyens ne sont pas des badauds !
C'est ce que je crois.

 

 

 

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 Je suis un "vilain suspicieux" devant l'Éternel (comme dit ma copine) ...
Le délit le plus commun et le plus grave, c'est la
perte de l'innocence (NB: double sens : être coupable de fait(s) et actes injustes, tout autant que spectateur de l'entamure de ma naïveté naturelle, quasi enfantine) - quand j'ai compris le mécanisme retors employé... machiavélisme qui ne me serait pas spontanément venu à l'esprit... :-(

La corruption est d'abord là : dans l'esprit. Et moi je suis plutôt jaloux de ma candeur (au capital limité) ...
Je travaille à me (pré)disculper...
(Et c'est pour ça que je ne regarde pas tout à la télé ; et que je ne prend jamais de "ticket à gratter"). Je me maintiens innocent (voire "crétin" si on garde le sens étymologique proto-chrétien...)

CANDEUR SOUHAITEE

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 VISUELS   PHOTOS de MANIFESTATIONrêve d'utopie (en plein coeur)  
| ANNEXES : débat |

 TAO = 2 TEMPS 3 MOUVEMENTS

2 TEMPS 3 MOUVEMENTS

(rappel)

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 L'illustration sonore idéale pour lire cette page :

Je rêvais de découvrir le titre évocateur absolu du groove pop, le noyau dur catalyseur, la matrice (illustrative à défaut d'être originelle, rutilante plutôt que larvaire), l'étalon en platine iridié du R'n'R !
C'est chose faite : c'est "Gonna Rock Tonite" par les FLAMIN' GROOVIES ! (Ou bien, j'avais en tête de garder un titre des Honney Drifters ?)
(Voilà ! J'avoue avoir fait quasi l'impasse sur l'un des 5 groupes fondamentaux du Rock, et cela jusqu'à cette année 2004 : j'en étais resté aux Kinks, pour le XXe siècle !)
La "machine molle" ne plait pas à tout le monde.
Round 'n' Round : what a crazy sound !

GRATIFIANTE ! Aucun ego mis en avant sauf au moment voulu du break/solo ! Une machine bien huilée, positivement globale, qui tourne d'enfer, (avec une ferveur possible, pour la Jouvence ou pour la liberté, c'est comme on veut), quasi hystérique alors que chacun des instigateurs pris séparément est zen (pas de prise de risque individuel énorme pour le musicien : ou alors avec le droit à l'erreur -exceptée d'harmonie bien sûr) Trop cool !


" GRAND REPORTAGE "

L'inertie continue quand c'est fini, et elle reste sur place quand le reste est majoritairement parti ...
L'inertie c'est, quelque part, ce qui reste sur le PQ après que la grosse commission soit achevée : on ne peut exprimer plus clairement toute la considération qu'il convient de lui apporter ... Partant de là, toute commisération attendrie pour "l'enfer tiède" sera forcément suspecte !