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c'est une page "pointue"... |
(... alors trouver une
place assise, et éteindre le poste ... à mi-parcours
grignoter des dattes, par exemple)
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La névrose
est un piétinement. Le Yoga évite de piétiner.
Les médias ont la névrose communicative. Parce qu'ils imposent une
interruption (brève mais répétée,
archi-répétée) dans la marche en avant (du
"karma", du moins en apparence). Un constat implique
l'irruption d'une pause (forcée donc pas si reposante
que ça) dans les petits comme les grands événements.
Piétinement constant. Si le Christ revenait sur Terre,
il aurait tout intérêt à le faire entre 20
et 20h30 ...
Ce qu'on appelle
"information" (dans le sens "pour
votre information sachez que...") est en fait une déréalisation
aliénante du flux vital.
Informations médiatisées qu'on appelait "Avis"
pendant les événements sérieux (Commune,
14-18 etc.) quand les médias se limitaient à
des affichettes, invitant le plus souvent à la mobilisation,
(c'est-à-dire
le recrutement de "la chair à canon" ; Les régimes
au pouvoir étaient moins gourmands : ils prélevaient
un échantillon de la population et le restituaient parfois
vivant ; maintenant il leur faut tout le monde, et à plein
temps, définitivement. Le but n'est plus de former des
professionnels contraints à la guerre, mais d'obliger tout
le monde à regarder le show, de se faire financer par les
civils/téléspectateurs en les mettant devant les
faits accomplis. Les peuples qui n'ont pas beaucoup la télé
(s'il en reste) n'ont pas d'intérêt dans le cheptel
médiamétrique : ils sont pauvres (matériellement).
Alors on les utilise plutôt pour la figuration (ces spectacles
nécessitent beaucoup de figurants, la technologie paroxysmique
lassant la ménagère de moins de cinquante ans, à
la longue, entre autres "cibles" ).
L'Information
de jadis (avant l'invasion du transistor et du tube cathodique)
:
Quelques
journaux avec "un gros titre" sensationnel, lus par
les élites, et surtout les affichettes sur les murs des
habitations ou des lieux de travail, colportant une propagande
succincte, ou indiquant des consignes de sécurité
productivistes. Parfois un cri de révolte, une mobilisation
subversive empruntaient les mêmes supports médiateurs
(cf. le Situationnisme ensuite, le top dans le genre).
« Prendre pour un feu notre propre fièvre, pour une secousse du
monde nos tremblements,
ou pour une apparition objective notre dérobade à nous même
» [*Alain, rapporté par Marc Wetzel. Montpellier].
Imaginer c'est avoir l'impression de percevoir (avec son corps) ce qu'en fait on ressent (toujours selon Alain*). C'est mal connaître son corps et donc se méprendre sur ses impressions, dans la confusion, que de prendre pour des instructions, l'instruction, l'évocation fébrile pour de "l'information". Les orchestrateurs de médias devraient faire du Yoga. Les sémiologues ont une bastille à prendre : le langage des signes télévisé est livré à lui-même, empiriquement, sans mémorisation. Un "C.S.A. ("conseil supérieur de l'audio-visuel [sic] qui ne maîtriserait pas la langue ne pourrait prétendre jouer au shérif dans une ville fantôme surpeuplée ...
Par principe, un défilé sans suite, d'images gratuites
(au premier coup d'il) qui ne se télescope jamais,
qui ne se souvient pas de lui-même au fur et à mesure
: c'est un rêve. Une réalité illusoire,
ici servie en boîte, conditionnée. Aliénante
a fortiori. Les J.T. fabriquent du rêve avec nos réalités
diversifiées. C'est devenu un cliché de dire
qu'une information en chasse une autre, et ainsi de suite (jusqu'à
la pub). Cela depuis que l'information a eu le malheur d'être
enregistrée en vidéo, sur un support recyclable
donc ; ce qui donne l'illusion que dans la société
des hommes la souffrance est éphémère, et
que le repentir est miraculeusement acquis, puisque le temps semble
travailler pour nous ("time is on my side" comme
le chante les Pierres Qui Roulent...) (On prenait les choses
plus au sérieux en amont, avec moins de condescendance,
quand on les filmaient avec de la pellicule). Depuis peu,
la surenchère fait même fuir les annonceurs : trop
de noirceur pour y mêler sa savonnette ....
Dans la rue, bien souvent les gens
ont tout l'air de venir d'une Atlantide nichée dans une autre dimension,
le Royaume d'Ys dans un coin de leur salle de bain sans doute. Ils s'ébrouent
par instinct, par pur héroïsme finalement, tant l'émulation
est retournée, l'accablement normalisé . De nos jours, quand les
gens se rencontrent on voit bien qu'ils sortent d'une terra incognita
perdue dans la brume, dont on ne sait si elle est réelle ou si on l'a
rêvé ; et dont le sas d'accès serait ce boîtier domestique
que presque tout le monde possède : sa "télé"
(comprendre "télévision" et non pas "téléportation"
; pas encore...) Ceux qui sortent de leur radio, ont l'air un peu moins
décoiffés, mais un peu perturbés tout de même ...
Alors, il faut savoir que maintenir
des esprits mortels dans les nuages, ça se fait sans se dire, mais sinon ça se
prononcerait : o
b n u b i l e r .
Analepses
° :
De fait, une obnubilation féroce sévit dans les
"démocraties" (comme si la fourmilière devait tirer
son nom de son mode de scrutin épisodique ... mais passons),
dans les "pays libres" (autoproclamés comme tels, en tout
cas)
: Une expérience consiste à jeter une
grenouille dans une casserole d’eau très chaude. La grenouille
bondit immédiatement hors de la casserole, à cause de la
chaleur. On reprend la même grenouille, on la place dans une casserole
d’eau froide et là, elle accepte d’y rester. La température
de l’eau est alors augmentée progressivement, degré
par degré, et très lentement. La grenouille ne bouge pas,
s’habituant au fur et à mesure à la température
de l’eau. |
.« La conscience sans réflexion n'apparaît qu'à la réflexion .».[Alain]
.
C'est
bien ça le problème. L'hypothèse de l'Inconscient
ne tient pas la route, pourtant elle est utile faute de mieux
(voir
plus bas, pour le mieux).
Elle étaye tous les processus de notre environnement interactif,
puisque le Yoga n'est que très peu pratiqué dans
ces pays qui escomptent mener la danse dans le monde (cf. "mondialisation"
culturelle et accessoirement économique), et où
les beaux-parleurs des haut-parleurs sont maîtres chez eux
(une
vérité assénée est une vérité
comprise, sans discussion possible : il n'y a pas de micro sur
la télécommande ...)
Les artistes pressentent bien que, même si l'inspiration a une origine qui échappe à l'intellect (car en Art, comme en sport, la technicité ne fait pas tout), rien ne leur prouve que la muse hiberne en attendant le jour J dans le coffre de leur Inconscient. La source semble être à ciel ouvert, disponible de suite, corvéable à merci, presque. L'inspiration a des ailes, et parfois elle visite plusieurs personnes presque en même temps, avec les mêmes ingrédients à proposer. Cela s'est vu. Leur Inconscient n'est donc pas vraiment hors-conscience, et c'est heureux pour eux. Des fulgurances le font resurgir et chacun peut le domestiquer (cf. Retrait lucide / Pratyâhâra) avec un peu d'entraînement, pour le coucher sur la toile, le papier, ou le support magnétique. Cette part la plus intime, enfouie, est celle qui façonne assez souvent des personnes publiques... Alors : y'a un doute !
Déjà l'Inconscient, tel qu'il fut mis en branle
par Freud, est mis en cause chez le philosophe digne de ce nom,
comme chez le scientifique neurologue qui constate qu'un circuit
longtemps inactif dans le cerveau de l'enfant s'autodétruit.
"La pensée
est une puissance non divisible" [Alain]
On a même parlé d'idolâtrie (à
cause de ce culte, dans la psychanalyse, voué à
l'ancêtre inflexible qu'est pour chacun l'enfant qu'il a
été) - (à la relecture, c'est plutôt
vrai que la psychanalyse aime bien les areu-areux).
La vertu est de ne se croire attaché à rien dont on ne pourrait repartir. Il n'y a pas d'inconscient qui tienne... (!)*
Chez
Sartre la conscience est choix
(et ça n'est pas rien, de choisir). Elle est "existence",
elle n'a pas d'être car elle vient constamment à
l'être, dans un surgissement unitaire. Elle est "de
part en part" elle-même, donc ne laisse pas de place
à un Inconscient non discernable, trop déterministe,
trop dualiste. Décider de penser sa destinée est
difficilement compatible avec le goût des cloaques fourre-tout,
des absences consenties...
La conscience selon Sartre est comme la Création divine
chez les Rastas des montagnes : elle s'opère en permanence,
elle émerge tous les jours, à chaque instant.
[ Mais Sartre est agnostique {ou assimilé / respect
des opinions : chacun fait ce qu'il lui plaît} et tient sa rigueur (pseudo-)scientifique
de son refus tactique de faire appel aux archives très
complètes concernant la spiritualité (textes sacrés),
pour élaborer sa bombe à retardement...]
Ainsi, lui a entièrement revisité et remplacé
le mécanisme psychique cher à Freud (récapitulatif
caricatural ou presque: Le "Ça"
inconscient pulsionnel craignos, réservoir de fantasmagorie
quasi bestiale, sexualité permanente prête à
bondir / "Surmoi" exigeant de se contrôler,
bien droit, bien peigné, poussant à se surpasser
sous la pression d'une conscience collective un rien paternaliste.
Les deux sont en conflit suivant des processus qui échappent
à notre conscience mais qui nous influencent). Chez Freud ,le pauvre
Ego est un grand enfant qui
hésite entre les trottoirs (surmoi) et le torrent
qui passent entre (ça) ; alors il refoule, il condense,
il projette, il sublime. Il devient fou à l'occasion.
Sartre substitut à l'inconscient une faculté de "mauvaise foi" de la part de la conscience, utilisée pour se tirer de situations embarrassantes (la première étant de se savoir vivant, conscient, et pire : définitivement libre. Ce qui peut devenir angoissant finalement.) C'est tellement simple que ça sonne vrai. Théorie si élémentaire que ça en devient redoutablement convaincant.
Avant
:
Bestiaire intérieur, mais extérieur à soi
(ouf)
:
statutairement freudien, refoulé conventionné.
Normatif garanti. La ruse est éventée. Freud démasqué.
Après : Mais c'est
qu'il mentirait l'animal ; ça bluffe. Je me fait mon cinéma
tout seul et malgré moi : Je suis trop libre des fois
... Sartre arrive
à troubler.
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La mauvaise foi est universelle : elle oblige la conscience à se dédoubler (afin de s'adapter à un Nexus envahissant). Quand on maugrée : "Je sais bien, mais quand même..." on prouve son déchirement interne, déjà un pied dans l'aliénation de ses convictions. Mine de rien, c'est grave. Grommellons un chouïa.
Le Zéro et l'Infini guettent. *
Angoisse, responsabilité, mensonges inévitables, dans une existence
humaine qui est duale chez Sartre (et c'est son point faible comme
on le verra à la fin) : "Subjectivité" (translucidité de la conscience) et "Projet" (c'est
l'irréductibilité de la liberté).
La mauvaise foi est la liberté fuyant sa vérité*. Et cette vérité est double : la conscience ne sera jamais rien une fois pour toutes, mais elle aura à être (jusqu'à ce qu'elle ne soit plus). D'autre part, elle pourra faire d'elle-même tout ce qu'elle veut (sauf se mettre en état de ne plus vouloir avoir à être). (Il dit : ne plus - vouloir - avoir - à être)
L'Inconscient : Un refouloir improbable donc, pour qui croit en
la prise en main de son propre devenir, sans "destin"
pré-établi.
En effet Sartre objecte : pas de censure sans censeur, ni de résistance
sans mutin, ni de déguisement sans acteur. "La censure doit choisir
et pour choisir, se représenter". (Cela fait penser à tout ce personnel
payé à visionner du porno dans les comités
de censure, n'est-ce pas un peu hypocrite des fois ? Ou ces fonctionnaires
de la gendarmerie qui passent leur temps à subir des images
pédophiles {alors que des journalistes - autres martyrs
du moralisme minimal objectivé, avaient repéré
deux CD-rom (en Belgique je crois) depuis un an. Au départ,
un seul avait été mis dans les pièces d'accusation,
après enquête, pour qu'il y ait enfin un procès}...
). Donc
l'Inconscient aurait conscience (de ce qu'il prendrait ou rejetterait).
Est-ce bien sérieux ?
Mais ensuite Sartre
s'enlise un peu, à cause de son bipartisme : Dieu et l'Homme,
ou plutôt l'Etre
et le Néant...
(cherchez qui serait qui ...) L'homme est mû par le "projet
d'être Dieu" cette " passion inutile" par
laquelle il vise l'impossible unité d'un être qui
se fonderait sur la pensée de lui-même, alors que
toute pensée aussitôt l'en déloge et défonde.*
Dichotomie pénible à la longue. Toujours ce Dualisme
cul de sac, là : Homme / Dieu chez Sartre. Le rôle
du Néant étant ici déjà pris, toutes
les lacunes semblent donc phagocytées : le philosophe n'a
pas craint assez de pécher par omission. Il aurait pu...
La place du vide étant déjà occupée
il manque un espace englobant dans cette joyeuse cosmogonie. Une
vraie vacance. Parce que c'est oublier que la conscience se déplace,
enrobe les cerveaux, les cerfs-volants comme les bigorneaux. Le
potentiel du collibri est autour de lui (il est trop petit
pour sa propre puissance ...) Le "péché
originel" reste de ne plus disposer que de son intelligence-portable
stockée dans sa boîte crânienne autonome, déconnectée
des champs paracérébraux ! Il a oublié le
Yoga notre Jean Paul :
la Jonction
ancestrale entre une conscience individualisée, en marche
(allumée : On/Off mais sans off notable) c'est entendu,
et cet Absolu guère (re)présentable,
représentatif du néant. OK, admettons ce point de
vue existentialiste un rien misérabiliste, puisque sans
les dorures d'un dogmatisme religieux ... Et poussons le, si vous
le voulez bien, dans le paroxysme hors de son retranchement binaire
:
Car
le trait d'union vaut par lui-même, il a son existence propre,
il est nickel ce lien, non négligeable. Il est là et un
peu là ! Donc l'affaire devrait se faire à trois. Lui et
ses deux extrémités. Oui, avec le JEU donc. Les règles du jeu sont irrévocables,
ni concrètes ni dissoutes, elles participent d'une "réalité virtuelle"
parallèle (accolage de mots inouï à l'époque
où Sartre défrichait !) Nous sommes en présence d'un
magma expansif que rien n'infléchit, induit par trois éléments
soudés, où chacun des trois a besoin des autres, solidarisé
par nature. (Alias "le Yin, le Yang & le Tao" aussi ... La nuit, le jour & le calendrier ... Le Masculin, le féminin & le fusionnel ... etc. : trinité toujours actuelle dans notre ère post-communiste, ou dans notre aire cyberévolutionnaire ... ... °°°) La Jonction (attirance centripète entre les deux pôles) ou le filet englobant (force centrifuge contenue) : la Nature Vivante (etc.) où l'on existe en intelligence, les présents comme les absents. |
Rien ne prouve qu'il y ait duperie, rien n'indique que la conscience y croit suffisamment, à ce contrepoint de sa vérité première. Elle se dis-trait, c'est tout. (/"mauvaise foi", ce sont deux bien grands mots...) Cette vacance est une condition nécessaire et suffisante à son existence. Sinon, entre l'Etre et le Néant y aurait-il ... Monsieur Sartre ? (plaisanterie) Ou le Grand Bluff et son jeu d'enfer ? La jonction sine qua non tourne autour. La mauvaise foi universelle n'est ni entièrement dans l'Homme ni dans l'Autre, pour preuve : la conscience doit se partager quand elle la pénètre, cette foi sans le cachet de la Poste. Quand le Bluff arrive, l'apparence couvre entièrement le précept binucléïde, le jeu l'emporte. Si la conscience se sépare d'elle même, en partie, la bouche s'écarte et se répand en rires irrépressibles. Sartre ne croyait pas si bien dire... Mais il a passablement négligé sa découverte. Il faudra savoir lui rendre le bénéfice honorifique de ce savoir dans l'Ere de la Délicatesse, le Grand Zèle aidant.
Mais ceci mis à part, Sartre affiche une noblesse de la condition humaine, qui assume même sa mauvaise foi intrinsèque (Pour le reste on sait que toutes les fois engendrées par les religions prétendent être la meilleur, jamais la mauvaise ... Y compris le Yoga Syncrétique) ; subterfuge de l'imposture à soi-même et aux autres, en lieu et place d'une possession, fataliste, par l'altérité intime de l'Inconscient, qui semblait moins glorieuse (mais qui est restée plus fameuse à ce jour, va savoir pourquoi...)
Il n'y a pas lieu d'être mystique ("croyant" étant un terme plus approprié au psychosomatisme qu'à la spiritualité) pour avoir envie de pratiquer le Yoga et en tirer des gratifications. Mais (il y a un mais vous vous en doutiez) le nihilisme permanent avec son arrogance défiante face à l'inconnu semble toutefois démobilisant, voire anachronique (après cette lecture), et donc contraire à l'efficience souhaitée... Si l'on tient à garder une vue mécaniste de son organisme il vaut mieux faire de la gymnastique. Et se priver de visions ...
Entre les deux opposés (c'est là que va ma préférence) il y a toujours autour. C.Q.F.D.
Des complices :
Rappel de
C.Q.F.D.
:
" L'Etre (fragmenté par ses choix) + le Jeu median [lien qui enveloppe] + le Divin Néant Absolu "
* — Le Zéro et l'Infini (Darkness at noon) est un roman d'Arthur Koestler.
0 = Etre (!) ; Infini = Néant (?)
Accusé de s'être
opposé au gouvernement, le citoyen Roubachof est arrêté
et jeté en prison. Ancien apparatchik, il va être confronté
à un système répressif auquel lui-même a collaboré
durant sa carrière politique.
Le roman retrace au moyen d'analepses le parcours de cet ancien dignitaire
jusqu'à son arrestation. Ses propres réflexions sur son passé
et les interrogatoires auxquels il est soumis vont notamment l'amener à
prendre conscience de la "fiction grammaticale", le "je",
délaissé au profit du "nous" dans une société
totalitaire où l'individu est considéré comme quantité
infinitésimale par rapport à la collectivité, quantité
infinie.
° — analepse = flash-back
[*Alain etc., rapporté par Marc Wetzel dans Sciences et Avenir N° spécial : La Psychanalyse est-elle une science ?]
le Guru stagiaire de La Bienfaiterie :