A eux l'intention, à nous la parole. Ils n'ont que nous pour pouvoir manifester à ce point leurs incroyables agissements ici-bas. Au plus haut niveau de complexité comportementale, ainsi qu'au summum du raffinement sentimental. Au fond, l'essentiel de leur activité est concentrée sur le relationnel oblique, sur la conduite anticipative séquentielle. C'est leur spécialité. Par des kyrielles de micro-événements régentés, un cortège cahotique d'indécisions boostées, une longue procession de hasards "biencontreux" en équilibre précaire ("bien-encontreux" bon gré mal gré, par opposition farouche aux "malencontreux" événements), via des coïncidences "providentielles", ils opèrent en douceur, en deux temps, trois (bons) mouvements. Ils n'ont pas leur pareil pour vaincre les maléfices. Commisération à toute heure. Discernement exponentiel des dispositions, palliant les troubles logarithmiques du pilotage. In-compréhension ; mésalliances toujours contestables.
Quand un ange fronce les sourcils, se met la pointe de l'index sur la tempe, ou (ce qui est plus rare) affirme quelque chose d'un ton péremptoire, on parle alors d'apparitions, (dans ces cas-là, comme dans d'autres).
De même que certains machos se moqueraient facilement d'une jeune femme qui roule en décapotable, sans rien connaître de la mécanique du quatre-temps, sous le capot, on charrie l'angélique translucide, comme on brocarde l'angélisme opaque
(fait de stupidité superstitieuse, d'autosuggestion docile).
Oublient-ils, ces cadors, leur pratique du pilotage automatique, les périodes de gueule-de-bois ? («Il y a un Dieu pour les alcooliques» répondront-ils...) L'ignorance est le lot universel.
On trouve normal, en regardant une radio, que la musique sorte de cette boîte, ce H.P. isolé de tout harmoniseur. Pourtant « on ne croit que ce que l'on voit » d'habitude. Les anges ne seraient-ils (ne seraient-elles ?) pas pareillement des ondes, mais plus concentrées, sauf leur respect "plus épaisses", plus vivantes en somme ?
Tant qu'on n'aura pas prouvé le contraire, les chérubins, les séraphins, sans compter les archanges actuels, ne font pas de mal. Force est de constater que les anges n'ont pas de sang sur les mains. Quelque soit la tradition répertoriée. Unanimité inter-croyances. Pusillanimité transversale. Les anges gardiens ne savent faire que du bien. Mobilisation générale ; syncrétisme pratique... Faire remonter dans la hiérarchie éthérée de nos partenaires.
Les fleurs ont davantage de respect, voire d'estime, pour les abeilles et consorts butineurs, que nous pour nos éventuels complices ailés. "Statistiquement parlant"...
« Il n'y a pas de problèmes , il n'y a que des solutions » (X)
Pratiquer le Yoga contribue à fortifier la santé, puisque celle-ci dépend de l'harmonie des éléments qui nous constituent, de l'équilibre des flux qui nous imprègnent, et le Yoga ne sert qu'à ça. La santé, physique et mentale, préservée, rien n'empêche alors l'édification d'une personnalité. D'un enrichissement intérieur. Car les " ressources humaines " ne sont pas que main d'uvre corvéable, ce sont aussi une part conséquente de notre nourriture spirituelle, bien à nous, éprouvée une fois pour toute, suite à leur émission aux quatre vents. On ne demande pas à un charcutier de faire du pain, de la même façon, tout ce qui influe sur les consciences, tout ce qui induit des comportements effectis, devraient être confié à de réels experts de la psychée, à des manipulateurs avertis (et loués pour cette raison, pour la satisfaction qu'ils procurent), et pas seulement à des commentateurs. Il fallait entendre les cris dans les cours de récréation les jours suivant le 11 septembre 2001, pour savoir à quel point la main mise des chroniqueurs sur les médias avait maladroitement créé un trauma (« je joue à sauter du 42ème étage », « je simule (comme à la maison sur l'ordinateur de papa) un vol kamikaze » , « je m'éclate à chercher comment sortir des décombres » fallait-il traduire de ces onomatopées stridentes ). Trois jours consécutifs non-stop (en plus de l'interventionnisme usuel qui se poursuivit), " la pensée unique " se répéta jusqu'à l'overdose. Raisonnement basique : plus c'est grave, plus on s'impose. L'idéal du reporter, c'est dêtre le seul survivant de l'apocalypse : scoop en direct (pour les martiens sans doute...) Un seul son de cloche puisque, sous couvert d'objectivité, les journalistes ne remettent pas en cause la matière première de leur fond de commerce : le manichéisme à fond les manettes, l'esprit de vengeance exacerbé par les sondages, le sensationnel pour unique credo Alors que c'est dans ces cas-là que l'on a le plus besoin de Bob Marley, Thelonious Monk ou Jacques Villeret.
La Culture intègre les Arts et les Sciences ; or ces dernières ont d'autres capacités que celles utiles à la construction de missiles (composer avec l'irrationnel par exemple, ce qui les relie aux Arts ; et à la Religion, qui n'est qu'une facette de la Culture). Il n'y a que les artistes qui sachent repriser les âmes, apaiser les curs, et rassurer les esprits. Les artistes et les gens de religion (curés, gurus, muezzins etc.) peut-être, mais ceux qui vont vers ces derniers sont déjà convaincus, intérieurement disponibles, tandis que l'artiste vous attrape par le col sans crier gare, il ne promet rien : il joue sur l'instinct, sur la jouissance communicative de l'instant présent. Ce qui est plus balaise, somme toute, quand c'est bien fait (le bouche à oreille est là pour confirmer le plaisir recevable). Seul l'Art sait renseigner les consciences ; et reformater la civilisation, en écrasant le terrorisme sans sourciller (et toutes ces sortes de barbaries, qui nous obligent à avoir des serrures à la place des sens). Qui plus est, à l'instar du yoga, lorsqu'il n'abolit pas le temps, l'Art le domestique ; et même parfois il donne du rab' (pas, comme la médecine, du temps en plus pour vos vieux jours, non, du temps libre de suite. Ils repoussent illico (l'Art total comme le yoga syncrétique) tout le segment restant à vivre, un peu plus loin, de quelques précieuses minutes, de quelques heures inestimables, par moments enchantés). Les Arts sont l'expérience quotidienne de la Relativité. Il nous restituent notre efficience kidnappée par les Nexus (et là toujours un peu froissée par les aléas), sans nous faire miroiter une extralucidité usurpée (et de toute façon, de pacotille, dans les démos des maîtres à penser ou des chasseurs d'électeurs...) Si le yoga empreinte la Voie du Milieu (il en est même le dépositaire), l'Art, lui, ouvre des obliques dans les prés-carrés, prend la tangente sur les cercles fermés. Ses raccourcis sont des brèches dans l'inertie, où l'on s'engouffre joyeusement. Autodidactes obligés, ses obligés reconnaissants. Parce que l'Art cela peut être un coup de peigne en attendant au passage à niveau (geste surpris à l'improviste, qui replonge le passant dans l'Age d'Or des 50's) ; la maquette d'une cathédrale imaginaire (l'auteur n'en est pas à son coup d'essai : il a déjà dressé des phares) ; une certaine désinvolture dans le port de l'uniforme, afin de planter ses radis juste avant la pleine lune (pas le temps de se changer : direct au jardin) ; une plaisanterie dans la bouche d'un speaker qualifié, à l'antenne ; un coup d'il embrumé de compassion, dans un microscope électronique ; une varappe impromptue sur une muraille désaffectée (pour cause de marée noire) ; un mégot distraitement jeté dans un cendrier (à environ 3m50 tout de même , dans cette salle des pas perdus), et Dieu sait quoi encore ! (« Il adore »)( ... semble-t-Il ...) L'Art c'est dans la tête après tout. Après tout le travail des artistes depuis Lascaux, après tout les poncifs étiquetés par périodes, par des pontifes parasitaires, après toute la vulgarité imposée par le désabusement hebdomadaire, incontournable, un oasis de raffinement. (Mais attention, avoir une idée ne signifie pas forcément être inspiré : l'Art Conceptuel, [grassement subventionné], se trompe de cerveau. Il flirte toujours avec la logique {cerveau gauche}, guère avec la sensibilité. C'est son tort ; (à mes yeux). De même que la musique non-profane, dans certains cas, usurpe sa transcendance, par l'abus de mathématiques.) Il n'est plus bel hommage que celui d'un critique de cinéma qui se repentit publiquement (sic) de n'avoir pas été sensible à un film, et qui fit, des mois plus tard, son mea-culpa d'avoir eu la raison plus forte que la sensibilité de ses contemporains. Il n'est suffrage plus catégorique, que celui de dizaines d'ados qui achètent leur CD le jour de sa sortie (sortis de la sinistrose par un riff vengeur, par une blue note qui vous cueille sans parade possible). D'ailleurs, le seul vrai moyen d'aider l'Art à s'épanouir, ça n'est pas de le subventionner comme un club de basket, mais de donner aux gens les moyens de se le payer à leur guise. Ce sont eux qui, négligemment, doivent faire le tri. Ce sont eux qui ont l'envie de remercier leurs bienfaiteurs (n'inversons pas les rôles : signer un chèque ne fait pas de vous un intime, un presqu'ami ; si l'artiste accompli des bienfaits, c'est un bienfaiteur). Sur la place du bled, après le spectacle, si le "sublime transport" a eu lieu, les villageois se pressent pour héberger, et nourrir bien sûr, le griot (ou le troubadour, même si celui-là préférait le plus souvent se produire au château de Sa Dame). Le jongleur vient nous montrer ce que nous ne savons pas faire, (ce qu'on n'aurait même jamais pensé faire), il mérite notre hospitalité, rien que pour ça. Et son casse-croûte, bien sûr (car on a beau être "porteur de feu" [cf. Vivien Savage], on n'en est pas moins homme). L'activité artistique est celle de simples d'esprit, de techniciens naïfs, quand ce ne sont pas des innocents, qui pétrissent le vécu comme le boulanger malaxe sa (bonne) pâte. Pareillement, ils uvrent pour gratifier les autres, mais chaque jour c'est à refaire. Les artistes sont des chirurgiens du feeling, puisqu'ils travaillent au feeling. (Mais, comme les chirurgiens, il leur arrive parfois de faire des erreurs, tous le reconnaîtront. Seulement, on s'y attend : ils sont payés pour ça. Assurés de ne pas être infaillibles, on se reconnaît en eux, même dans leur maladresse ( Surtout même : dans ces failles émouvantes comme les entailles dans les rochers de certaines côtes abruptes ; dans ces faiblesses somptueuses jusque dans leurs craquelures ; dans ces imprudences survolées stoïquement, telles des ravines par le faucon cendré ; dans ces impairs inimaginables, ces méprises (le plus souvent, savamment agencées) qui bonifient la recette d'une véritable identité, pleine de son terroir et de son devenir.) Dans les Sciences aussi, l'impondérable peut être fructueux. Avant d'orner crânement les billets de banque de la fin du XXème, Pierre et Marie Curie devaient leur renom à la découverte de la "radio-activité" (un joli nom pour une future plaie multi-millénaire...). Une "invention" qui n'était due qu'à leur manque d'efficacité dans le rangement du matériel de laboratoire... L'artiste s'arrange, lui aussi, pour toujours retomber sur ses pattes. (Exercice nettement moins méritoire quand, symboliquement, on ne quitte pas son canapé, ses charentaises à moins d'un mètre ) Ce n'est pas le résultat qui compte, c'est l'attitude. Le voltigeur ne fait parler de lui que lorsqu'il manque son trapèze Là il s'agit d'un accident, d'un destin maudit tourné en fait-divers, on sort de l'activité professionnelle (d'ailleurs aucune assurance n'accepte de prendre en charge ce type d'équilibriste). Mais que voulez-vous, quand on a goûté au vol de l'épervier, on espère celui de l'aigle royal, et non pas celui de la poule fermière !
Mais qu'avons nous donc fait, pour mériter cet embargo culturel ?
Il y a de nombreuses similitudes entre le moine ou l'ermite pratiquant le yoga (bodtisatwa), et l'artiste sincère. (Mis à part que l'artiste aime affabuler, et détesterait mendier ) Des points communs fondamentaux, à partir d'un même postulat : la matière humaine est sensible, et malléable. Est artiste quiconque fait appel à l'inspiration (même des reporters, comme le regretté François Challais, et bien d'autres, le sont). Inspiration nécessaire pour pouvoir accomplir l'exercice de ses fonctions. C'est celui qui fait, fondamentalement, grand cas de la perception d'autrui dans son activité principale (diurne ou nocturne). Car l'artiste utilise son cerveau droit (celui qui gère images et sons dans l'abstraction, l'esprit synthétique) avec autant (si ce n'est plus) d'acuité que son cerveau gauche (celui des chiffres et des lettres, logique, l'esprit analytique). Or il se trouve que les cerveaux des autres fonctionnent de la même façon. "Gravure universelle", "compatible stéréo" (cf. les premiers disque-vinyl LP). Alors tout le monde s'y retrouve. On ne croit pas si bien dire quand on constate qu'au « royaume des aveugles les borgnes sont rois » : chez les désinformés, les mi-cerveaux ont voix prépondérantes. Le prosaïsme est plutôt à gauche, et le vulgaire ne dérange pas la droite ; la poésie se niche dans l'est aride (quand vous êtes face au nord) mais l'ouest peut se montrer grossier, et même obscène ; (en Mongolie l'effet de serre tue les chevaux par milliers, dans un silence consensuel). C'est le corps calleux (petit conduit ridicule en bas du cortex, au centre du bio-processeur autonome) qui a le mérite de faire le pont entre ces deux galaxies psychiques. Comme avec le Tao, passerelle entre le Yin et le Yang, qui tourne autour en entraînant dans sa force centrifuge, paradoxes et confrontations, le lien ici passe par le milieu ... Divin tunnel, à double sens. Plus on l'utilise, mieux le courant passe. C'est le corps calleux qui va sauver l'humanité de sa décrépitude effroyable. On parie ? La méditation a du bon. La prière. La transe. La valse. La Contemplation extatique. Les bains de soleil. La musique tibétaine etc. (« j'en passe et des moins pires »)
rappel :
Puis vint l'époque des "dégâts collatéraux ", des 10% de chômeurs enregistrés (1 sur10 : officiellement), de la précarité stable, rémunératrice, de "la journée des pauvres" et toutes ces obscénités, admises consciencieusement dans le consensus, par banalisation programmée (ex-"propagande" : avant quand il pleuvait on disait au peuple "il fait beau" ; maintenant on dit aux contribuables/consommateurs, qu'il pleuve ou qu'il vente : « il va pleuvoir, comme il a plut - et pour les abonnés : programme spécial intitulé "s'il fait beau" ») On noie le poisson. Dans les nitrates.
Projection : Après l'Age de la Destruction ("Kali", fin de siècle, fin de cycle) que nous réserve l'étape suivante ?
Soit on retourne dans l'autre sens, oscillant comme un balancier, incertain sur son objectif : après le pathos mercantile {martelé de "techno" (remarque : musique calquée sur la pulsation cardiaque, pas sur le cur aimant : la mélodie est absente des années 90, rap aidant)} ; sexe à tout vent (& musique hippie); enthousiasme sautillant comme un lémurien ; émotions romantiques et cruelles (cf. comme durant la Guerre Mondiale entre Patries dirigées par les symboles, la " Der des Der ") ; sentimentalisme et universalité (abolition de l'esclavage et naissance du Blues) ; télépathie ; et prémonition ; inspiration et félicité. {Peut être à nouveau au son de sonates rythmées sur un mouvement de mastication (sic) cher à la "musique classique". L'extase des maxilaires rendues aux produits du terroir, le palais juché dans les étoiles ; ça nous change des marches militaires ou syndicales}. Bouquet final : la Pax (« après avoir gagné la guerre, on a gagné la paix »).
Soit on repart à 0, on bascule à l'autre extrême directement, pour un nouveau départ dans l'Eden de la félicité inspirée. Et revoilà le Corps Calleux à pied d'uvre ! Avant une très longue et circonstanciée dégringolade collective ; " grandeur et décadence ". Mais ça n'est pas si simple, et tous les éléments de sensibilité coexistent ; les chakras se répondent simultanément dans leurs nuances
« Découvrir consiste à voir comme tout le monde et à réfléchir comme personne. » [ Albert Szent Györgyi ]
Mais l'artiste peut prendre un coup de vieux, (s'il le veut), quand il perd de sa naïveté (il faut toujours un peu d'innocence pour faire des découvertes ) à force de trop bien com-prendre les politiciens, les banquiers, les rédacteurs en chef, les entraîneurs sportifs etc. Tous ces gens omniprésents mais à qui on ne peut jamais parler (sans témoin). A tout prendre on s'entend mieux entre voisins de paliers. Saccagé, il en arrive à comprendre les terroristes avec leurs mentalités retorses ("concevoir" leurs plans, les décalquer pour comprendre, ne signifie pas approuver les actes). Pour un peu il trouverait en lui de la compassion à l'égard de l'archange déchu, de l'empathie pour Lucifer. Question d'habitude. Le machiavélisme lui vrille les neurones, car il assimile malgré lui, les règles d'un jeu scabreux qui enterre sa vie de gaminot. Mieux que les intéressés, lui ne se contente pas de vivre l'abject : il le rêve, l'extrapole, le cauchemarde, le sublimise. Il l'alambique à feux doux. Parce que, c'est ce qui différencie l'artiste de l'artisan, l'artiste est un ruminant. Il ne recommence jamais deux fois la même création, mais avant d'agir, il sasse, ressasse, contressasse, et demande l'heure, il s'informe de tout et de rien, toujours. Mais ensuite, il n'y a plus personne. Abonné absent. Comme le Yogi, souvent. « Mais qu'est-ce qu'il fabrique ? ». Et il revient pimpant, presque fier. Attentif à comprendre. Jusqu'à sa prochaine réalisation (à la lettre : bonne perception / concrétisation).
Un alchimiste trans-forme le plomb en or (en tout cas il cherche la pierre philosophale, éminemment pataphysique, qui lui permettra cette transmutation). Tout le monde ne peut pas en dire autant. On ne trouve pas toujours les mots (pour le dire autant)
Par exemple " mourir de faim ", " victimes de malnutrition " ne sont plus que des mots creux, pire, des clichés Et pourtant pendant que vous lisez ces lignes, c'est le gros tracas d'une partie conséquente de la population terrienne ; mais on n'en fait pas tout un foin dans les médias ! (juste "... une paille !"). Les médias qui savent pourtant chier une pendule pour un oui ou pour un oui. " Tombés dans le ruisseau ..." C'est la faute à Michel Field. {Lui qui n'a pas d'excuse, car il a pourtant eu l'opportunité de parler avec Félix Guattari. (Un savant. Un sachant. L'observateur de la Révolution Moléculaire.)} Les médias n'ont pas de mémoire, leurs mercenaires non plus
Heureusement, sur Internet, il y a plein de pense-bêtes
ANNEXE :
mailing-mails de septembre 2001 :
Warning Fish
mardi 11 septembre 2001 24 h Félix
Résumé pour les quelques dizaines qui n'ont pas la TV, ou qui écoutent FIP :
mercredi 12 septembre 2001
Félix