Illustration textuelle du tableau précédent et de ce qui s’en suit (un résumé) : (tu‘vois pas l’tableau !?… c’est normal il est derrière) | en savoir plus sur les chakras |

«  - Alors, comme ça, on profite de la Vie ? 

- On fait ce qu’on peut …

- T’as bien raison, mon pote »

(discussion avec un passant, depuis ma chaise-longue.

Un ange, un démon ou un korrigan ?)

GRANDE COMPETITION DE VASES COMMUNICANTS !


 

Du manque de principe des vases communicants.

L’intérêt d’avoir des paliers entre le seuil (le sommet du crâne) et l’arrière cour (les jambes), c’est d’éviter les troubles obsessionnels. Les blocages d’ascenseur. De l’indigestion au fanatisme religieux, en passant par la colère ou l'érotomanie (nymphomanie etc.), le risque (de stagnation) guette ; l’usufruit de chaque échelon ayant ses attraits, et son redoutable pouvoir fascinant. Chaque sortie (de secours) est aussi une entrée (exit up & way down). Et vice versa. La circulation inverse (du bas-ventre à "l’auréole") est plus fréquente qu’on ne le croit. Elle ne tient qu’à nous. (L’élévation peine un chouia, la chute arrive toute seule, c’est bien connu).

 

(Transformer une pulsion en émotion avant d’en faire un véritable sentiment n’est pas toujours évident, pour ne prendre qu’un exemple à trois niveaux ; tandis que la métamorphose d’une émotion en jouissance via la pulsion est spontanée. A tel point qu’il convient parfois de se refreiner [cf. devant le téléviseur et ses programmes à sensations]).

Pour être plus précis, au hasard : La tristesse qui conduirait à faire pleurer, est ainsi accompagnée d’un soulagement qui n’a rien de masochiste. C’est naturel ; c’est la vie … Une mélancolie qui s’ensuivrait après un plaisir (physique) tiendrait davantage à un cheminement personnel. Tout aussi naturel, sûrement, mais guère hédoniste … Plus particulier.

 

La ferveur que l’on porte pour soi (par "instinct de survie") épargne les court circuits. Heureusement. « Aime toi comme tu peux aimer ton prochain » pourrait-on dire … C’est-à-dire avec modération …(malheureusement pour son prochain, mais la nature humaine est ainsi faite.) ça n’est pas de l’égoïsme mais de l’ignorance. [9 fois sur 10...]

  • Quand on se (res-)sent animal, on éprouve comme un soulagement (invraisemblable : la tête vide ou presque). Réaction en chaîne.

Courant à la Terre, débarrassé des embarras terriens, rampants dans le pétrole, cristallisés dans l’esprit qui fait le gros dos.

( intime absence, extase externe )

  • Vraie jouissance, en suivant nos appétits, pour combler nos sens (unique manque naturel ; la Nature, nous sommes ses obligés…)

Brièveté constante. Noyade dans le raz de marée déchaîné d’enchaînements, le liquide trouve toujours son chemin. L’eau surtout.

( absence intime, signal externe )

  • Ensuite, pulsion : quand on est privé de l’objet du désir (privé, éloigné de nos sens, mais pas encore du reste). Chimère obstinée.

Enthousiasme : Glace brûlante pour se délivrer des sueurs froides, le feu-sacré inonde les Plexus. Arborescence.

(présence intime, présage externe )

  • Avec émotion : c’est ce qui reste quand on s’est rangé des pulsions (indifféremment importunes ou soulageantes). Cécité consentie.

Air comprimé défoulé : soupir d’amour possible ou râle d’amour impossible (le cœur hésite entre systole et diastole)

Air défoulé comprimé : soupir d’amour impossible ou râle d’amour possible (le cœur, entre diastole et systole, hésite)

( intime présence, débordement interne )

  • Enfin du sentiment, c’est toujours ce qui reste quand on se retire des émotions diverses, partagées (si fugaces, tant ambiguës).

Avec le recul vient la distance. Avec la perception distanciée les liaisons s’amplifient.

 

Le soleil au lieu des projecteurs :

Accents de sincérité retrouvée ( le cœur s’en remet à l’âme ). On tordrait le cou aux apparences désabusées.

  • L’intuition c’est ce qui commence quand on a soustrait les sentiments (développés déjà par ailleurs). Une impression qui dépasse.

Le prisonnier frappe avant d’entrée : bien que libéré il revient en visite. Diagonale du fou.

( intime lacune, berlue externe )

  • L’inspiration c’est ce qui arrive quand on retire toutes les intuitions (informelles et/ou aveuglantes). Flash. Eblouissement furtif.

Se dégageant même du temps, l’esclave affranchi impose sa griffe, il taille l’Ether. Faire des ronds de fumée…

( intime distraction, rapt externe )

  • La ferveur c’est ce qui demeure quand on oublie ses dernières inspirations (incommodes, et gênantes). De guerre lasse, l’adoration cosmogonique : ni sur-régime, ni sous-régime. (A plein régime, même immobile).

Les braises à la place des bûches : le souffle (invérifiable) à la place de l’esprit (forcément carré, celui-là)

( intime externe, distinction extatique )

Condensation de l’antimatière.

  • C’est-alors qu’on se ressent animal (mais conscient d'être un mammifère reconnaissant, bien que parfois encombrant…)

La circulation inverse (du bas-ventre à "l'auréole") est plus fréquente qu'on ne le croit. (L'élévation peine un chouia, la chute arrive toute seule, c'est bien connu). Elle ne tient qu'à nous. (Respirer aussi. C'est la respiration qui active les chakras. Et l'étanchéité mesurée, volontaire (ou fortuite), des énergies sexuelles (reçues ou offertes). Dans ce cas respirer plus fort encore, pour aider au refoulement et à sa "sublimation" [comme disait Freud ; mais avec une nuance ici c'est qu'il ne s'agit pas de se distraire de ses pulsions mais, de les assimiler parfaitement identifiées ; et cela physiquement, la preuve : c'est parfois momentanément douloureux, surtout quand les canaux de repli ne sont pas encore bien constitués]). Dans le Tantrisme, Kundalini vient en plus (sinon il dort).

Bondissant comme un dauphin, ou comme le sautillant lémurien (tous ces êtres qui savent se dispenser de cacher leur joie) : admiration sans ombrage, sans jalousie déplacée. Une admiration sans borne (et sans objet du désir) ; un engouement éparse ; l’exaltation diffuse, sans aucun dépit récurrent (ni de confuse envie, même rétroactive). Un répit-oasis. Nirvana à 3 km. En Eden Class …

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Résumé : (« c’est tout à fait toi »)

bien être

désir = tout sauf plaisir animal

pulsion = tout sauf plaisir sensuel

émotion = tout sauf plaisir compulsif

sentiment = tout sauf plaisir émotionnel

intuition = tout sauf plaisir sentimental

inspiration = tout sauf plaisir intuitif palpable

ferveur = tout sauf menu plaisir inspiré

Animal = Tout sauf plaisir humain

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