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 ___ « Salut ! c'est toi ? qui va là ... (certain d'être au calme avant de se lancer ;-)  ?! ...»( portrait imaginaire) ("Professor" ...... à ce qu'on dit ... hmm)

( U T O P I S T E   A   P L E I N   T E M P S )

FAITES-VOUS PARTIE DES GENS ?
Si oui, êtes-vous tatoué ? Pouvez-vous le prouver ?
Le Peuple, lui, avait ses contingences, mais aussi ses privilèges ... que les Gens n'ont plus.

 
.... " soyez aware !"
PRISE DE POSITION (Debout)
 


Parce qu'initialement les Impressionnistes ont voulu se démarquer de l'Académisme, il faudrait au XXIe siècle être forcément (euphémisme) différent ? Obligatoirement original plutôt que singulier ? Littéralement anormal ?
L'exposition des Rejetés devint "le Salon des Indépendants" jusqu'à ce que Fluxus mettent les pieds dans le plat une bonne fois pour toute. Lautrec, Warhol même combat... Ben sait de quoi je parle, lui qui détient la science infuse à l'insu de son plein gré, lui qui incarne le nouvel Académisme, comme César avec ses compressions honorifiques.
Presque banal, un pied dans le ringard et l'autre dans l'expérimental, c'est comme ça que je me tiens le mieux debout, droit et fier de l'être (authentique, sans orgueil pour autant). En équilibre, sans falbalas.
L'Art conceptuel me gave.

Je ne suis pas remarquable même si exemplaire. Universel sans être vulgaire. Possédant pleinement l'usufruit de ce qui est commun à tous les humains, (en plus de ce bonus vaguement égocentré), je revendique le droit à l'expérimental au quotidien.
Soyons hyperspicaces. Gérons l'impromptu. Improvisons donc, à l'occasion.
 
La différence entre l'Art et l'artisanat (décliné), entre la Création ex-nihilo et la plupart des autres activités possiblement manuelles, ou limitées à l'intellectuel : c'est que l'on signe. On signe APRES avoir agit. On fait dans l'inédit, hors main-stream.
L'Art (s') est "autorisé" : c'est à dire qu'il se présente, par définition, signé d'un auteur au minimum. Comme une facture, grandeur nature... Un bordereau de derrière les fagots... Un bout de peau, tatouée, prêt à greffer !
Plus généralement, signer un chèque avant de consommer (carte bleue acceptée), signer un ordre de mission, (ou un avis de passage), c'est prendre des responsabilités certes, mais ne rien assumer de concret. C'est toujours APRES, que ça se passe : c'est avant que ça se gâte ...
Il est facile de vérifier que tout ce qui s'accomplit relève du domaine artistique, de la poésie. Le reste n'est que servitude en cascade... (sans épanouissement légitimement possible...)

La relation de cause à effet : voilà un beau métier ! (D'ailleurs, le métier d'aiguilleur, ou encore de tuyautier, est l'occupation la plus glorieuse (c'est le lieur absolu... un soudeur, même !), la plus emblématique (le provider... mais le pistonneur, aussi) qui soit dans notre Ere du Verseau !) :
A propos de plomberie, (tuyauterie devrait-on dire donc, sans saturnisme) ce n'est pas parce qu'ils ne savaient pas peindre bien, que les "pompiers" furent férocement critiqués, mais c'est parce qu'ils mettaient leur art au service de l'institutionnel. On a le droit de bien peindre, de savoir jouer d'un instrument acoustique, ou d'écrire sans faire de fautes notoires. L'artelnative existe.
 
Mais on ne peut avoir le mérite de la pratique artistique que si c'est gratuit dans l'intention, si l'expression l'emporte sur le souci (intéressé) de l'acquiescement, sur l'addiction à la reconnaissance.
Non, l'Art doit rester parfaitement inutile, savamment superflu, comme la recherche génétique (même s'il se peut qu'accidentellement elle soit utile à certains par ses conséquences curatives pour l'une, et si elle parait décorative ou divertissante pour l'autre).
Le désintéressement de l'auteur est généralement garant de l'intérêt du public. Tout un chacun se doit d'être artiste,
authentiquement vrai, s'il souhaite résister au robotisme insidieux, à l'engourdissement mental, à la paupérisation intellectuelle, à la sclérose, en vrac.
 
"Je ne suis pas un numéro" (comme disait N°3).

tu m'envoies un courriel, si tu veux
 
P.S. Illustration :
 
Jean Moulin fut quelqu'un de respectable, tout le monde en convient. Mais pour quelles raisons ?

 Remarque édifiante : Le péril alors vint, en plus du fanatisme allemand, vénal, de ce fameux esprit de discorde français, pétri d'ambition, et des dollars américains versés sans aucune considération stratégique objective (ou de leur promesse : un placement, quoi !) parallélement... En un mot : du trivial !

 
Si l'on considère que Hitler ne réalisa que de simples cartes postales aquarellée, on comprend maintenant pour quoi 'le monde libre' l'a emporté sur le nazisme ! :P
Tous des artistes, je vous le disais ! ;-)
 
Pour faire quoi ?! Pour quel épanouissement, individuel comme collectif ?!
 
*(NB: écrivain notoire également ! Il a dit : "une nation qui renie sa mémoire est une nation qui perd son âme")
 

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« l'enfer c'est les autres, le paradis aussi. » (Sartre, in extenso)


ANNEXE n°1b &1c tirée du FORUM Bleu

 

"bouquet cablé"

- Le 23/06/2003 à 15h29 Pr Fox -

Noircir le tableau ou lioneliser la situation ?
Paint it black or Paint it white ?
Ce Qu'il Fallait Denoncer ?
Si l'on en croit Annie Le Brun ou Dominique Volton trop d'info tue l'info. Donc effectivement : devoir de synthèse... (PC à 2 clicks : relou/ Mac 1 clic : plus cher, passk + de travail : developper puis synthétiser/contracter)
Danger : uchronie ou prophétisme (au rabais) des intellos labelisés ? Cela masque souvent une propension inégalitaire (mobile : défendre son beef steack, son pré-carré) ?
(pour Jean-Claude Albert-Weil je ne sais pas ... vous me direz...)

?? Tout le monde ne serait donc pas artiste ? (je n'ai pas dit "star"... ni artisan).

J'ai compris ce qui me chiffonnait dans l'article sur Annie Le Brun (cf. le lien sur une bonne femme qui monte au créneau comme ça fait plaisir à voir, un écrivain qui mérite certainement le détour...) ainsi que dans la réaction épidermique/allergique récurrente de Nebo ! [...]

[un peu de suspens...]

Je crois que ça réside dans la confusion entre l'artiste et l'œuvre.

Mozart n'aurait, peut être, été qu'un hydrocéphale (qui expose cette théorie déjà ?) anonyme si son père ne l'avait pistonné à la cour du Roy, et SURTOUT, s'il n'avait pondu quelques émerveillements sur ses partoches !
Je connais des pleu-pleus dans un recoin de la zone (tendance gypsy) qui s'avèrent capables de retournements en état de grâce, (qd ils jouent sans avoir trop picolé ...) C'est d'ailleurs leur but recherché, en improvisant sur des STANDARDS... des oeuvres éprouvées.

Dantec l'a bien compris qu'une oeuvre classée "polard", c'était plus redoutable que d'être classé sur l'étagère "intellectuels polymorphes" ...
(Décidement je n'accroche pas au lascar... surtout mis en musique, même si je préfère qu'on parle de lui à l'étranger que de Villepin... qui est aussi incapable que ses collègues (présents ou récents), de verser trois francs, 6 sous, (ou quelques euros) là où il faut, hors hexagone, pour le maintien du rayonnement de la culture Française. Le lycée français de New York qui existe depuis 1936 va être reconstruit sans le moindre aide du gouvernement français : un exploit, de part et d'autre !*)

Tout guitariste de Téléph' qui soit, si je n'avais pas eu connaissance de "Pluie de Blues" ou "Juste une Illusion" (sans parler de "Guns don't kill the people"... etc.) je ne serais pas du tout concerné par certaines netlists actuelles (et je ne serais même pas là, à cette minute, à pinailler sur l'utilité du chromosome 21 dans l'usage du djembé...)

Le sextet intitulé Les Rolling Stones (quintet officiellement, mais la grande différence avec les Beatles c'est qu'il s'agit d'un groupe avec piano finalement ... c'est le +, le - connu), bref, the greatest band on the earth (guillemets inutiles : tout le monde sait que c'est... Led Zep en ce moment...) a commis des choses limite détestables, mais... il y a un mais ! (plusieurs même, et pas des moindres !)

S'il n'avait pas participé activement à quelques chefs d'œuvres, l'artiste resterait un ringard capricieux ("Sans technique un don n'est rien qu'une sale manie" disait Brassens), le technicien resterait un intermittent grincheux, et la cuisinière une ménagère (plus ou moins) de 50 ans, consommatrice exemplaire... (Je ne parlerai pas des "grands chefs", ni des couturiers, qui assimilent un peu trop facilement leur bizness à de l'Art... Nommer un "meilleur cuisinier du monde" ça me parait le comble du grotesque (les somaliens votent-ils ?) et de l'outrecuidance mal braisée ... A côté "Mister France" ça semble plus reglo, même si très kitch...[non pas Villepin, l'autre !] )

En conclusion (un rien idéaliste, voire sentencieuse), "moralité" : que tout le monde s'applique consciencieusement à ce qu'il F A I T ! (comme seul sait le faire un artiste, ex.: au hasard, Noah, à Rolland Garros... déjà !) ou tout être qui met au monde... Et que les créatifs soient jugés sur pièce ! (si on leur laisse l'opportunité de retrousser leurs manches... : ce qui est une autre paire, dimanche)

 

Pourquoi je disais ça, au fait ? ......... je devrais plutôt faire une sieste moi ...

 

 Objet : " artiste rock ?"

 Comme ça m'a bien plu ce symposium sur "quoi-t-est-ce qu'un artiste rock ?" alors j'en remets une louche :

Voilà, "être rock" c'est être solide, tout bêtement. Conciliant (qq concessions diplomatiques) mais sans compromission (qui risquerait de devenir une trahison AVEC SOI-même), c'est se vivre comme un rocher ("que dis-je, c'est un cap, une péninsule !"= Cyrano est un rocker aussi) Une présence au monde intègre, fiable. Héroïque par les temps qui courent; qu'on soit connu pour ça ou pas. Point barre.
Et être artiste c'est donner du plaisir, "pour sûr" (comme dirait Au Bonheur des Dames) mais pas seulement je crois. C'est aussi faire le choix délibéré de quitter le camps des nuisibles, ou des passifs, une bonne fois pour toute. Renoncer à l'abstrait, le paraître toujours virtuel, pour travailler le sensible, les manches retroussées et les mains dans la glaise... "Experience" est le meilleur nom de groupe jamais trouvé. Et nous faire croire que l'art survit tant bien que mal chez les VIP, de la haute-couture aux restos côtés en Bourse est une imposture. (Je ne parle pas des Staraques & Co puisque le sujet est l'Art... majeur et vacciné.)
Avant, le marketing à la Bruel visait les 12/15 ans maintenant il persécute en plus les 7/10 de son laminage multimediatique (PLV, produits dérivés en masse et presse spécialisée surabondante, déclinaisons jusqu'à la nausée. Du jamais vu!)

Comme il y a des "techniciens de surfaces" l'artiste est un "technicien de profondeurs" qui grattouille les émotions, qui farfouille dans les sentiments. Technicien, parce qu'il apprend tout le temps l'ingénierie de l'âme humaine, avec toutes ses nuances : comme les esquimaux ont une trentaine de mots pour désigner la neige (et autant sans doute pour dire la glace) Buddy Guy a 36 façons d'exprimer les impressions diverses qu'on désigne par le seul mot de Blues... Toute une palette dans laquelle chacun peut se reconnaître à l'occasion.

D'ailleurs ça fait un moment que je me dit que le milieu artistique est responsable de l'image de plus en plus péjorative qu'on lui colle ("théatreux", "artiste conceptuel", ça fait sourire d'emblée (à juste titre souvent), sans parler de ces "musique de sauvage", ou de la "peinture peinture"...) C'est important de bien se définir pour ne pas se laisser marcher sur les pieds par toutes les castes qui ont un intérêt (médiatique) à ce que les artistes soient surtout discrets, et bien maléables ! (journalistes/chroniqueurs, politiques/syndicalistes, religieux &devôts de la spéculation). Artistes qui encombreraient toutes ces corporations qui labourent déjà le terrain (économistes, publicistes/designers, architectes verreux, psys de service, météorologues/conseillers en tendances, formateurs/scalpeurs* , et DJ gravement payés pour exploiter leur discothèque de vinyls !) Les plates-bandes les plus rénumératrices ne sont pas forcément les plus tapageuses...

* Ex: "Convention de Conversion" : le formateur est payé par tête de chômeur$ (s'ils se barrent, une fois formés à trouver un emploi, il touchera moins) Technocratie méprisante. Motivation malsaine... On ferait mieux de filer le pécule au chômeur, pour rebondir, parce que lui c'est sûr qu'il sera motivé (de bosser pour sa pomme) !

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i n s p i r a t i on ...
Le 11/12/2002 à 15h37
LES ARTISTES : TOUS VENDUS ?
(extrait du Discours sur une Mutation Agissante)
 
Je ne vois pas forcément de divergence systématique entre
- pratiquer son art (car on a tous et toutes un don {les langues, la cuisine, la zik, le VTT etc etc}, car on a forcément une envie de bien-faire qui nous taraude de temps en temps... (c'est ça "du travail d'artiste")
- et "gagner sa vie" (expression finalement assez lamentable, qui laisserait penser qu'on ne nous a jamais "donné la vie" mais que c'est donnant/donnant : servitude contre autorisation d'être...)
Non, ça n'est pas dichotomique en fin de compte, travailler et exister ...
Je crois que c'est à chacun d'essayer d'inclure l'expression artistique dans le gagne-pain quotidien, autant que faire se peut (même si au départ ça semble problématique, voire conflictuel...) Se vivre artiste 24h/24, voilà qui serait révolutionnaire ! (Je vous laisse imaginer selon les métiers ;-) (Un prof a les mêmes maladies professionnelles qu'un acteur par exemple ... extinction de voix etc.)

L'Art ne devrait pas être une sorte de récompense (une vacance tolérée), un bonus (la carte VIP), encore moins une compétition vers la gloire pour quelques "élus" par le bon peuple, le bon Prince, et la Cour des médias : si tout le monde devient artiste il n'y a plus de compétition imposée, puisque tout le monde est gagnant ! La pratique de l'art, comme cela a toujours été dans les civilisations humaines, peut être un artisanat sans auto-pastiche, sans répétitions (rémunératrices) à outrance de ce savoir-faire individuel. Un souci de progrès exacerbé, un exercice partagé de l'excellence, pour faire bref :
l'universel pour tous, et par tous.
(C'est ce qui est commun à tout un chacun, mais pas commun en soi...)

Les technologies (qui sont dites "nouvelles" depuis 1985 au bas mot !) ne sont pas handicapantes pour réussir cette mutation, bien au contraire. C'est pour ça que les "Maisons" de la Culture (Bunkers de la Culture ?) sont quasiment aussi vides que les Eglises : le XXIème siècle n'est pas parti pour fonctionner comme à l'époque du Moulin Rouge ou de La Callas... Ni même comme à l'époque des Shadocks !
Il faut tout remettre à plat, et se dire qu'un Michael Moore est sûrement plus un artiste qu'un journaliste (les documentaristes, comme les archivistes, ont souvent tendance à l'oublier : ils se doivent de ruer, de se rebiffer quand la rétention d'information profite du silence mesquin des alcôves de sous-sols hiérarchisés)...
Les programmeurs informatiques (la cyber-écriture est, de fait, la poésie d'aujourd'hui :
"le verbe en action", poli ET spontané, mais c'est un autre débat... l'impact des mots, le poids des images ... cf.site Arte - Cyber Art), et les trouveurs de génomes sont aussi des artistes ... ou presque [tout dépend si c'est un acte désintéressé, gratuit (même si curatif pour certains) ou pas].
Et celui qui éclaire bien sûr, ou le mec à la sono, bien entendu ! (bien entendable, et tout bien visible... sinon ils vont être virés les 2 loustics en question...:)
L'important c'est de donner de sa personne à la transe collective... (Le mot n'est pas trop fort : Il n'y a plus de "conscience de groupe" quand ce dernier n'a pas d'objectif, en guise de dénominateur commun, de validation usuelle). Donc, seule l'application (je veux dire : la bonne volonté autonome exacerbée), peut "tirer vers le haut" le miasmique collectif ! Seul l'Art partagé arrive à compenser, franchement, l'amertume de l'usufruit d'une société avariée... presque hésitante même, de génération en génération. Ce n'est pas de ma faute si ça fait plus d'un demi-siècle que l'on parle de "crise" (congénitale donc ?)...
C.Q.F.D.
 
"Chaque instant est un moment d'Art non créé" a dit quelqu'un.
va.../////\\\\\/////|||||\\\\\/////\\\\\...cance
 
Le 12/12/2002 à 15h09

 [.../...] En résumé : est artiste quiconque met son savoir-faire optimum au service de l'autre, pour améliorer la vie collective, n'est pas artiste celui qui se range dans le camp des nuisibles, et qui contribue à polluer l'état des lieux.

(merci de vot'attention, je vais prendre mes gouttes dans ma tisane, en plus des bonbons au miel : il parait que c'est bon pour ce que j'ai, et pour les cordes vocales aussi...)

Exterminator 

 

(suite du Gnac Forum :)

 
Le 12/12/2002 à 15h50 Toussaint à Pr. Fox -
Donc, si je suis ta logique, l'éboueur est un artiste ;-))))) Il met ses biscoteaux au service de la collectivité et nettoie la merde. Généralement, c'est un brave mec, il n'est pas surpayé. Ce qui me permet de conclure qu'il n'est pas du côté des nuisibles ;-))) Pour conclure ta conclusion, on pourrait dire que l'éboueur est un artiste de merde, quoi... ;-)))))) Fait gaffe à ce que tu mets dans ta tisanne Fox ;-)))))) Toussaint, écroulé de rire.
 
Le 12/12/2002 à 16h21 Pr Fox -
c'est le vidangeur dont tu parles, l'éboueur travaille dans le General Procept Recycling (et/ou pour la Ville), bien qu'employé municipal son activité est au sein d'un groupe (ou duo au minimum : le chauffeur et lui, selon une technique savamment mise au point et perpétuée jusqu'à ce jour, à base de sifflets et autres codes/gestuelles). Conduire est un art, tous les routards ou autres happy drivers, cyber-nomades australiens (qui roulent avec des minibus à urine)(sic : avec moteur à hydrogène) etc vous le diront...
En ce qui concerne l'éboueur (généralement un chic type, je confirme), il ne faut pas le confondre non plus avec le ramasseur de feuilles mortes (qui n'a plus son râteau pointu, mais un aspirateur dorsal avec manchon flexible). Là effectivement j'ai un doute sur ses qualités artistiques : lui seul dispose d'un casque (oreillettes en feutrine) pour ne pas être incommodé par le bruit (j'ai bien dit le bruit, pas la musique) qu'il génère. Les promeneurs et les amoureux des bancs publiques, non. C'est un nuisible, donc.
Pour les artistes de merde, j'y reviendrai dans un prochain colloque... ;-)

Le 12/12/2002 à 16h40 Pr Fox (correctif) -
En fait c'est pas un aspirateur mais un souffleur qu'il a sur le dos ! L'aspirateur est monté sur 3 ou 4 roues avec un conducteur dessus (qui glande pas loin de là en attendant que les souffleurs fassent un ou plusieurs tas de feuilles + papiers gras etc si nécessaire). Ce type de conducteur n'est artiste que par intermittence : le reste du temps il se cherche...
 
Le 12/12/2002 à 16h59 Toussaint à Pr. Fox -
Allez, je teste aussi pour les images... Merci Fox pour tes explications :-)))
 i m a g i n a t i o n
 

" Je reviendrai... vous parler plus de moi, du monde, de mon yuka, de mes rêves... et de vous, peut-être ..."
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 ©rypt.Ed 2003

 
« Parce que, peut-être, il n'y aurait que les artistes (au chômage) qui seraient payés à ne rien foutre ! ?
(Il suffit de regarder le nombre d'occurrences du mot "sex" dans les moteurs de recherches aux heures de bureau, et le temps nécessaire pour parcourir les niveaux des millions de jeux-vidéos, bien destroy, vendus de par le monde !) »